Divo – Le sursis de 45 jours accordé aux fabricantes de savon traditionnel ‘’ kabakourou’’ à domicile pour délocaliser leurs activités a expiré samedi, donnant désormais toute la latitude aux forces de l’ordre de Divo de procéder au déguerpissement forcé.
Après plusieurs reports, le déguerpissement des femmes a été différé en février au terme d’une rencontre qui a réuni plusieurs parties notamment les représentantes des commerçantes, la préfecture, les forces de l’ordre, les agents de santé ainsi que ceux de l’hygiène publique et de l’environnement.
La question de la cessation de cette activité dans les sites d’habitations est devenue un casse-tête pour l’équipe municipale depuis près de trois années en raison de la mauvaise foi et de la ruse de certaines fabricantes. « Elles trouvent toujours un prétexte pour rester en place », affirme un des adjoints au maire, Ahmadou Diallo.
Cette fois, la mairie, par la voix de son chargé de communication, Maxime Kouadio, se dit déterminée « à régler définitivement cette question car il y va de la santé de leurs administrés ».
« Nous sommes ouverts à tous ceux qui veulent s’impliquer dans cette question pourvu qu’ils collaborent avec la mairie mais surtout qu’ils contribuent à faire partir les femmes en douceur car plus aucun sursis n’est envisageable », a-t-il ajouté.
L'imminence du déguerpissement forcé arrive dans une atmosphère de défiance à l'autorité municipale par une partie des populations notamment les commerçants du grand marché de Divo dont certains ont molesté il y a quelques jours des agents municipaux dans l'exercice de leurs fonctions, rappelle-t-on.
gso/fmo
Après plusieurs reports, le déguerpissement des femmes a été différé en février au terme d’une rencontre qui a réuni plusieurs parties notamment les représentantes des commerçantes, la préfecture, les forces de l’ordre, les agents de santé ainsi que ceux de l’hygiène publique et de l’environnement.
La question de la cessation de cette activité dans les sites d’habitations est devenue un casse-tête pour l’équipe municipale depuis près de trois années en raison de la mauvaise foi et de la ruse de certaines fabricantes. « Elles trouvent toujours un prétexte pour rester en place », affirme un des adjoints au maire, Ahmadou Diallo.
Cette fois, la mairie, par la voix de son chargé de communication, Maxime Kouadio, se dit déterminée « à régler définitivement cette question car il y va de la santé de leurs administrés ».
« Nous sommes ouverts à tous ceux qui veulent s’impliquer dans cette question pourvu qu’ils collaborent avec la mairie mais surtout qu’ils contribuent à faire partir les femmes en douceur car plus aucun sursis n’est envisageable », a-t-il ajouté.
L'imminence du déguerpissement forcé arrive dans une atmosphère de défiance à l'autorité municipale par une partie des populations notamment les commerçants du grand marché de Divo dont certains ont molesté il y a quelques jours des agents municipaux dans l'exercice de leurs fonctions, rappelle-t-on.
gso/fmo