« Nous pensons qu’en fédérant nos énergies, il y a certaines actions que nous pourrons poser qui permettront d’accélérer notre développement ou notre maturité numérique ». Tel est le sens de ‘’l’appel d’Abidjan’’, selon Euloge Soro-Kipeya, Directeur général de l’Agence nationale du service universel de télécommunications (ANSUT). Il s’est prononcé ce mercredi 19 avril au siège de la structure à Abidjan.
Ce document a pour objectif, a-t-il indiqué, de sensibiliser les gouvernements africains sur l’importance des Technologies de l’information et de la communication (TIC) dans leur marche vers l’émergence. Et surtout de faire en sorte d’échanger entre agences des pratiques et les bons procédés. Bien entendu, est-il convaincu, dans l’optique de faciliter les échanges entre populations en vulgarisant l’outil informatique.
‘’L’Appel d’Abidjan’’, notons-le, est un document de référence pour les instances africaines, notamment l’Union Africaine, qui a couronné la 7ème édition du Forum Africain sur les technologies de l’Information et de la Télécommunication (AITTF 2017) qui s’est tenu du 10 au 11 avril dans la capitale économique ivoirienne. Ce document invite les Etats, les Gouvernements et les Institutions de régulation de service universel et transformation numérique de l’Afrique, à « s’unir pour relever l’ensemble des défis du secteur, et ce, afin de faciliter la mise en place d’instruments et de moyens pour une meilleure intégration régionale »; « favoriser une harmonisation des approches de résolution des défis opérationnels de la mise en œuvre des plans numériques nationaux en vue d’encourager la mutualisation des ressources et des outils »; « créer une structure de travail ad hoc qui pilotera la communication et l’échange entre les différents Gouvernements et dont le secrétariat sera basé à Abidjan et assuré par l’ANSUT »; et à « organiser une réunion annuelle des Agences en charge du service universel des télécommunications, des Agences en charge de l’informatisation des Etats et des Directions numériques des ministères en charge de la numérisation ainsi que des représentants du secteur privé, qui se tiendra en marge d’AIT&TF ».
D.Tagro
Ce document a pour objectif, a-t-il indiqué, de sensibiliser les gouvernements africains sur l’importance des Technologies de l’information et de la communication (TIC) dans leur marche vers l’émergence. Et surtout de faire en sorte d’échanger entre agences des pratiques et les bons procédés. Bien entendu, est-il convaincu, dans l’optique de faciliter les échanges entre populations en vulgarisant l’outil informatique.
‘’L’Appel d’Abidjan’’, notons-le, est un document de référence pour les instances africaines, notamment l’Union Africaine, qui a couronné la 7ème édition du Forum Africain sur les technologies de l’Information et de la Télécommunication (AITTF 2017) qui s’est tenu du 10 au 11 avril dans la capitale économique ivoirienne. Ce document invite les Etats, les Gouvernements et les Institutions de régulation de service universel et transformation numérique de l’Afrique, à « s’unir pour relever l’ensemble des défis du secteur, et ce, afin de faciliter la mise en place d’instruments et de moyens pour une meilleure intégration régionale »; « favoriser une harmonisation des approches de résolution des défis opérationnels de la mise en œuvre des plans numériques nationaux en vue d’encourager la mutualisation des ressources et des outils »; « créer une structure de travail ad hoc qui pilotera la communication et l’échange entre les différents Gouvernements et dont le secrétariat sera basé à Abidjan et assuré par l’ANSUT »; et à « organiser une réunion annuelle des Agences en charge du service universel des télécommunications, des Agences en charge de l’informatisation des Etats et des Directions numériques des ministères en charge de la numérisation ainsi que des représentants du secteur privé, qui se tiendra en marge d’AIT&TF ».
D.Tagro