Bouaflé- Le préfet de région et du département de Bouaflé (Centre-Ouest, région de la Marahoué), Beudjé Djoman Mathias a exhorté les parents d’élèves à s’impliquer dans le dénouement de la grève des fonctionnaires qui frappe de plein fouet le secteur de l’Education.
« J’observe un silence passif, une certaine passivité de tous les leaders communautaires de Bouaflé alors qu’il s’agit bien de l’avenir de nos enfants », a fait remarquer Beudjé Mathias. Il a interpellé les parents d’élèves à ne pas laisser les mouvements de grève à la seule gestion du préfet.
Selon l’administrateur, les leaders communautaires, les cadres et élus locaux ainsi que les responsables de la société civile doivent se mettre à ses côtés pour rencontrer les syndicalistes afin de leur expliquer le bien-fondé de l’éducation des enfants qui prendront les rênes de ce pays dans quelques années.
« Depuis que je suis à Bouaflé les grèves annoncées dans la région prennent une ampleur inquiétante contrairement aux autres villes qui sont calmes où tout se passe normalement » a-t-il déploré, insistant sur la mise en place d’une plateforme pour discuter avec les syndicalistes.
Depuis lundi, La Coordination des syndicats de la fonction publique (COSYFOP) observe un arrêt de travail collectif de cinq jours renouvelables en vue de la satisfaction de certaines revendications. Il s’agit entre autres du paiement intégral du stock d’arriérés de salaire, d’indemnités et de primes actés cumulés depuis 2009, l’octroi de 150 points d’indices à tous les fonctionnaires ne disposant pas de statuts, rappelle-t-on.
zaar/kam
« J’observe un silence passif, une certaine passivité de tous les leaders communautaires de Bouaflé alors qu’il s’agit bien de l’avenir de nos enfants », a fait remarquer Beudjé Mathias. Il a interpellé les parents d’élèves à ne pas laisser les mouvements de grève à la seule gestion du préfet.
Selon l’administrateur, les leaders communautaires, les cadres et élus locaux ainsi que les responsables de la société civile doivent se mettre à ses côtés pour rencontrer les syndicalistes afin de leur expliquer le bien-fondé de l’éducation des enfants qui prendront les rênes de ce pays dans quelques années.
« Depuis que je suis à Bouaflé les grèves annoncées dans la région prennent une ampleur inquiétante contrairement aux autres villes qui sont calmes où tout se passe normalement » a-t-il déploré, insistant sur la mise en place d’une plateforme pour discuter avec les syndicalistes.
Depuis lundi, La Coordination des syndicats de la fonction publique (COSYFOP) observe un arrêt de travail collectif de cinq jours renouvelables en vue de la satisfaction de certaines revendications. Il s’agit entre autres du paiement intégral du stock d’arriérés de salaire, d’indemnités et de primes actés cumulés depuis 2009, l’octroi de 150 points d’indices à tous les fonctionnaires ne disposant pas de statuts, rappelle-t-on.
zaar/kam