M. Andrew Haviland, chargé d’affaires de l’ambassade des Etats Unis a eu une longue séance de travail, le mardi 02 mai 2017 avec M. Yves Yao Kouamé, Secrétaire Général de la Haute autorité pour la Bonne Gouvernance (HABG) et ses proches collaborateurs, au siège de l’autorité administrative à la Riviera IV.
A en croire le secrétaire général, les échanges ont tourné essentiellement autour de deux axes majeurs. Il s’est agi dans un premier temps de faire le point sur les actions posées par l’HABG au représentant américain et dans un second temps, de l’appui que la HABG peut escompter de cette chancellerie.
Concernant le premier point, Yves Kouamé a indiqué que la Haute autorité se rend régulièrement dans les ambassades pour exposer les stratégies et actions entreprises pour endiguer la corruption en Côte d’Ivoire et réduire du coup, la perception de ce fléau par les Ivoiriens. Il a expliqué que cette démarche est faite à l’endroit des investisseurs étrangers. Lorsque ceux-ci se rendent dans un pays, c’est auprès de leur représentation diplomatique qu’ils s’informent sur les efforts entrepris dans un tel pays pour lutter contre la corruption. Leur décision d’investir est prise, in fine, au regard de la sécurité qui leur est offerte pour garantir les fonds qui seront éventuellement investis. De ce point de vue, le secrétaire général a fait remarquer que la lutte contre la corruption et surtout, la perception de la corruption est « un avantage comparatif important » pour un pays comme la Côte d’Ivoire qui a un fort besoin d’investissements étrangers, vu que l’épargne endogène ne suffit pas pour faire face à son développement.
Une équipe du secrétariat général s’est donc rendue à l’ambassade américaine, l’année dernière, pour exposer son plan d’action et les initiatives déjà prises pour accomplir sa mission. En retour, M. Andrew Haviland a demandé cette séance de travail pour apprécier les avancées qui peuvent être notées depuis la visite de la HABG.
La seconde partie de la rencontre a porté sur diverses formes d’aides que l’ambassade américaine pourrait apporter à la HABG, notamment sur le partage de bonnes pratiques en matière de lutte contre la corruption. Le chargé d’affaires a fait remarquer que la HABG fait un travail très important qui mérite d’être soutenu.
A en croire le secrétaire général, les échanges ont tourné essentiellement autour de deux axes majeurs. Il s’est agi dans un premier temps de faire le point sur les actions posées par l’HABG au représentant américain et dans un second temps, de l’appui que la HABG peut escompter de cette chancellerie.
Concernant le premier point, Yves Kouamé a indiqué que la Haute autorité se rend régulièrement dans les ambassades pour exposer les stratégies et actions entreprises pour endiguer la corruption en Côte d’Ivoire et réduire du coup, la perception de ce fléau par les Ivoiriens. Il a expliqué que cette démarche est faite à l’endroit des investisseurs étrangers. Lorsque ceux-ci se rendent dans un pays, c’est auprès de leur représentation diplomatique qu’ils s’informent sur les efforts entrepris dans un tel pays pour lutter contre la corruption. Leur décision d’investir est prise, in fine, au regard de la sécurité qui leur est offerte pour garantir les fonds qui seront éventuellement investis. De ce point de vue, le secrétaire général a fait remarquer que la lutte contre la corruption et surtout, la perception de la corruption est « un avantage comparatif important » pour un pays comme la Côte d’Ivoire qui a un fort besoin d’investissements étrangers, vu que l’épargne endogène ne suffit pas pour faire face à son développement.
Une équipe du secrétariat général s’est donc rendue à l’ambassade américaine, l’année dernière, pour exposer son plan d’action et les initiatives déjà prises pour accomplir sa mission. En retour, M. Andrew Haviland a demandé cette séance de travail pour apprécier les avancées qui peuvent être notées depuis la visite de la HABG.
La seconde partie de la rencontre a porté sur diverses formes d’aides que l’ambassade américaine pourrait apporter à la HABG, notamment sur le partage de bonnes pratiques en matière de lutte contre la corruption. Le chargé d’affaires a fait remarquer que la HABG fait un travail très important qui mérite d’être soutenu.