Le Secrétaire d’Etat chargé de l’Enseignement Technique et de la Formation Professionnelle continue ses visites aux partenaires techniques et financiers intervenant dans la mise en œuvre du Plan stratégique de réforme de la formation professionnelle qui a été adopté en Conseil des ministres le 28 décembre 2016.
Ainsi, après la Chambre de Commerce et d’Industrie, l’Association des Professionnels des Banques et Etablissements Financiers (APBEF), la Chambre d’Agriculture, le Mouvement des Petites et Moyennes Entreprises, la Chambre nationale des métiers, l’Agence française de développement (AFD), L’UVICOCI, l’ARDCI, le Secrétaire d’Etat Mamadou TOURE était ce mardi 2 mai, dans les locaux de la Confédération Générale des Entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI). Au terme de la séance de travail qu’il a eue avec le patronat ivoirien, le Secrétaire d’Etat a salué l’engagement et la détermination des chefs d’entreprises à accompagner la mise en œuvre de cette réforme.
« Dans le cadre de la mise en œuvre de la réforme sur la Formation professionnelle dans notre pays, nous avons entrepris de rencontrer les acteurs clés du système. Vous savez que le secteur privé occupe une place importante au niveau de la formation professionnelle. Il était important pour nous de venir rencontrer la CGECI qui est un acteur majeur de l’économie ivoirienne pour voir comment nous pouvons agir en synergie pour lever les quelques freins qui existent dans la mise en œuvre de cette réforme.
Je me réjouis de l’accueil qui nous a été réservé et surtout de la forte volonté de la CGECI de s’impliquer pleinement pour aider à la mise en place d’un système de formation professionnelle de qualité dans notre pays », a indiqué le Secrétaire d’Etat avant d’annoncer la mise en place des différentes instances de cette réforme au sein desquelles il invite le secteur privé, notamment la CGECI à prendre toute sa place. Pour Jean Marie Ackah, président de la CGECI, la question des ressources humaines de qualité est au cœur des préoccupations des chefs d’entreprises. C’est pourquoi il a, au nom de son organisation, apporté tout son appui au Secrétaire d’Etat dans sa volonté affichée de mise en œuvre de cette réforme.
« La question de la formation professionnelle est un enjeu important pour le secteur privé parce que la qualité des ressources humaines est un facteur clé de succès dans la performance de nos entreprises. Nous savons tous que notre système de formation professionnelle est un système qui a souffert et qui est dégradé depuis un certain nombre d’années. Il est important pour nous, secteur privé que ce système soit remis à niveau », a indiqué d’entrée Jean Marie Ackah avant de se faire plus précis en ces termes : « Nous, entreprises, si nous voulons avoir des ressources humaines de qualité, nous devons être à mesure d’apporter cet accompagnement pour la réforme du système de la formation professionnelle.
Au niveau de la CGECI, nous considérons que le dossier de la formation technique et professionnelle est un dossier extrêmement important d’autant qu’au niveau de notre pays, nous avons fait un choix économique clair qui est d’aller au renforcement du tissu industriel », a ajouté le président du patronat ivoirien avant de saluer cette visite du Secrétaire d’Etat qui, selon lui, va apporter un coup d’accélérateur à la mise en œuvre effective de la Réforme.
Ainsi, après la Chambre de Commerce et d’Industrie, l’Association des Professionnels des Banques et Etablissements Financiers (APBEF), la Chambre d’Agriculture, le Mouvement des Petites et Moyennes Entreprises, la Chambre nationale des métiers, l’Agence française de développement (AFD), L’UVICOCI, l’ARDCI, le Secrétaire d’Etat Mamadou TOURE était ce mardi 2 mai, dans les locaux de la Confédération Générale des Entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI). Au terme de la séance de travail qu’il a eue avec le patronat ivoirien, le Secrétaire d’Etat a salué l’engagement et la détermination des chefs d’entreprises à accompagner la mise en œuvre de cette réforme.
« Dans le cadre de la mise en œuvre de la réforme sur la Formation professionnelle dans notre pays, nous avons entrepris de rencontrer les acteurs clés du système. Vous savez que le secteur privé occupe une place importante au niveau de la formation professionnelle. Il était important pour nous de venir rencontrer la CGECI qui est un acteur majeur de l’économie ivoirienne pour voir comment nous pouvons agir en synergie pour lever les quelques freins qui existent dans la mise en œuvre de cette réforme.
Je me réjouis de l’accueil qui nous a été réservé et surtout de la forte volonté de la CGECI de s’impliquer pleinement pour aider à la mise en place d’un système de formation professionnelle de qualité dans notre pays », a indiqué le Secrétaire d’Etat avant d’annoncer la mise en place des différentes instances de cette réforme au sein desquelles il invite le secteur privé, notamment la CGECI à prendre toute sa place. Pour Jean Marie Ackah, président de la CGECI, la question des ressources humaines de qualité est au cœur des préoccupations des chefs d’entreprises. C’est pourquoi il a, au nom de son organisation, apporté tout son appui au Secrétaire d’Etat dans sa volonté affichée de mise en œuvre de cette réforme.
« La question de la formation professionnelle est un enjeu important pour le secteur privé parce que la qualité des ressources humaines est un facteur clé de succès dans la performance de nos entreprises. Nous savons tous que notre système de formation professionnelle est un système qui a souffert et qui est dégradé depuis un certain nombre d’années. Il est important pour nous, secteur privé que ce système soit remis à niveau », a indiqué d’entrée Jean Marie Ackah avant de se faire plus précis en ces termes : « Nous, entreprises, si nous voulons avoir des ressources humaines de qualité, nous devons être à mesure d’apporter cet accompagnement pour la réforme du système de la formation professionnelle.
Au niveau de la CGECI, nous considérons que le dossier de la formation technique et professionnelle est un dossier extrêmement important d’autant qu’au niveau de notre pays, nous avons fait un choix économique clair qui est d’aller au renforcement du tissu industriel », a ajouté le président du patronat ivoirien avant de saluer cette visite du Secrétaire d’Etat qui, selon lui, va apporter un coup d’accélérateur à la mise en œuvre effective de la Réforme.