Grand-Lahou - Quatre-vingt dix enseignants de 40 écoles communautaires d’Adomkro, bourgade située à 45 km de Grand-Lahou, ont bénéficié mercredi d’une formation, afin de leur permettre d'acquérir les mêmes capacités que les enseignants titulaires.
Ces enseignants sont en majorité des étudiants, des bacheliers ou titulaires du brevet d'études du premier cycle (BEPC), engagés par la communauté pour l’encadrement de quelque 5052 écoliers de cette localité.
Le conseiller pédagogique, Ahua Kouakou a indiqué qu'il a le devoir d'aller partout où il existe des écoles afin de veiller au bon encadrement des élèves. « Nous avons surtout constaté que de nombreux candidats à l'entrée en 6ème proviennent de ces écoles. Cette année, l'on nous signale 322 candidats. Il faut donc suivre le travail qui s'effectue dans ces zones reculées », a-t-il signifié.
Depuis 1993, ces écoles ont été créées par les populations elles-mêmes afin de résoudre certaines difficultés liés à l’éloignement des écoles des lieux de résidence.
« Les charges de scolarité, d’achat de matériels didactiques, pédagogiques et le salaire des enseignants reviennent aux parents », a indiqué le directeur général des écoles communautaires du département, Kouassi Kouadio Alfonse.
(AIP)
rk/tad/fmo
Ces enseignants sont en majorité des étudiants, des bacheliers ou titulaires du brevet d'études du premier cycle (BEPC), engagés par la communauté pour l’encadrement de quelque 5052 écoliers de cette localité.
Le conseiller pédagogique, Ahua Kouakou a indiqué qu'il a le devoir d'aller partout où il existe des écoles afin de veiller au bon encadrement des élèves. « Nous avons surtout constaté que de nombreux candidats à l'entrée en 6ème proviennent de ces écoles. Cette année, l'on nous signale 322 candidats. Il faut donc suivre le travail qui s'effectue dans ces zones reculées », a-t-il signifié.
Depuis 1993, ces écoles ont été créées par les populations elles-mêmes afin de résoudre certaines difficultés liés à l’éloignement des écoles des lieux de résidence.
« Les charges de scolarité, d’achat de matériels didactiques, pédagogiques et le salaire des enseignants reviennent aux parents », a indiqué le directeur général des écoles communautaires du département, Kouassi Kouadio Alfonse.
(AIP)
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