Une date-butoir donnée pour régler le problème de soutenance de Bts
Lors de son assemblée générale (AG) qui s’est tenue, le mercredi 10 mai 2017 à l’Université Félix Houphouët-Boigny, la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire (FESCI), a donné une semaine aux autorités pour trouver pour arrêter une date définitive officielle pour la soutenance du BTS.
Assi Fulgence Assi, SG de la FESCI a estimé que c’est une injustice faite aux étudiants de ne pas soutenir pour valider leur diplôme. « Les actions que nous avons menées la semaine nous ont amenés à croire que les autorités allaient jeter un regard sur la situation. Malheureusement, il n’y a pas eu de date pour les soutenances. Nous sommes allés en Assemblée générale pour donner une semaine aux autorités pour qu’une solution soit trouvée. Si rien n’est fait, le mercredi prochain 17 mai, nous seront dans l’obligation d’organiser une marche dans l’intérêt d’amener nos autorités à donner une date pour la soutenance du BTS », a-t-il averti.
Concernant la réconciliation avec les autres syndicats estudiantins, et le retour au calme sur l’espace universitaire, Assi Fulgence a fait savoir que la Fesci qui a plus de 27 ans d’existence ne peut pas être à la base d’insécurité ou de bagarre : « Notre rôle est de sécuriser l’université. Ramener la paix et travailler pour l’apaisement des différents esprits sur les espaces universitaires de Côte d’Ivoire. (…) Nous nous sommes entendus et à l’AG, nous avons décidé de faire la paix avec tous les mouvements estudiantins pour renoncer à toute forme de violence ».
En sa qualité de SG, il a jugé indécent de faire des révélations sans pouvoir citer de noms. « Nous avons poussé loin nos recherches et avons compris qu’il y a un certain nombre de personnes qui n’ont pas intérêt que le campus soit pacifié. Chaque jour que Dieu fait, il y en a qui entretiennent certains de nos camarades dans les cabarets et dans les quartiers précaires pour suspendre les actions de la FESCI. C’est ce qui entraîne parfois ces difficultés. Si nos autorités et certaines personnes tapies dans l’ombre ne cessent pas leurs complots contre notre organisation, il y aura toujours des abus », a-t-il déploré.
EF
Lors de son assemblée générale (AG) qui s’est tenue, le mercredi 10 mai 2017 à l’Université Félix Houphouët-Boigny, la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire (FESCI), a donné une semaine aux autorités pour trouver pour arrêter une date définitive officielle pour la soutenance du BTS.
Assi Fulgence Assi, SG de la FESCI a estimé que c’est une injustice faite aux étudiants de ne pas soutenir pour valider leur diplôme. « Les actions que nous avons menées la semaine nous ont amenés à croire que les autorités allaient jeter un regard sur la situation. Malheureusement, il n’y a pas eu de date pour les soutenances. Nous sommes allés en Assemblée générale pour donner une semaine aux autorités pour qu’une solution soit trouvée. Si rien n’est fait, le mercredi prochain 17 mai, nous seront dans l’obligation d’organiser une marche dans l’intérêt d’amener nos autorités à donner une date pour la soutenance du BTS », a-t-il averti.
Concernant la réconciliation avec les autres syndicats estudiantins, et le retour au calme sur l’espace universitaire, Assi Fulgence a fait savoir que la Fesci qui a plus de 27 ans d’existence ne peut pas être à la base d’insécurité ou de bagarre : « Notre rôle est de sécuriser l’université. Ramener la paix et travailler pour l’apaisement des différents esprits sur les espaces universitaires de Côte d’Ivoire. (…) Nous nous sommes entendus et à l’AG, nous avons décidé de faire la paix avec tous les mouvements estudiantins pour renoncer à toute forme de violence ».
En sa qualité de SG, il a jugé indécent de faire des révélations sans pouvoir citer de noms. « Nous avons poussé loin nos recherches et avons compris qu’il y a un certain nombre de personnes qui n’ont pas intérêt que le campus soit pacifié. Chaque jour que Dieu fait, il y en a qui entretiennent certains de nos camarades dans les cabarets et dans les quartiers précaires pour suspendre les actions de la FESCI. C’est ce qui entraîne parfois ces difficultés. Si nos autorités et certaines personnes tapies dans l’ombre ne cessent pas leurs complots contre notre organisation, il y aura toujours des abus », a-t-il déploré.
EF