‘’Nous sommes en train d’expliquer à nos camarades les modalités de sortie de crise proposées par le gouvernement. Nous devrons être au même niveau d’information pour éviter des divergences après ’’, a déclaré à APA un soldat mutiné qui réagissait à la déclaration du ministre auprès du Président de la République chargé de la défense, Alain Richard Donwahi.
‘’Nous sommes des militaires et nous ne pouvons pas à l’état actuel dévoiler le contenu de ce que le gouvernement nous propose. Il s’agit pour nous de sensibiliser nos camarades sur ce contenu car notre objectif n’est pas de fatiguer le Président Alassane Ouattara. Nous allons l’accompagner dans sa mission’’ a-t-il ajouté.
Pour lui, ‘’le Président de la République est pour nous comme un père. Donc si nous ne sommes pas là pour l’arranger, nous ne pouvons pas être là pour gâter, c’est impossible’’.
‘’Nous n’avons rien contre le Président. La manière dont nos délégués ont agi n’était pas correcte. C’est ça qui nous a énervé en plus des menaces’’ a-t-il poursuivi en soulignant, la nécessité de ‘’passer le message pour la bonne cause du pays. C’est notre devoir de le faire. Si les conditions sont respectées, nous rentrerons dans les casernes’’.
Lundi soir, dans une déclaration radiotélévisée lue par le ministre chargé de la défense Alain Richard Donwahi, le gouvernement ivoirien a dit avoir trouvé ‘’un accord sur les modalités de sortie de crise’’’, à l’issue de deux jours d’échanges entre l’état-major des armées et les soldats’’.
Jeudi soir, la télévision nationale a présenté une rencontre entre le président ivoirien Alassane Ouattara et des soldats se réclamant des ‘’8400’’ soldats qui se sont mutinés en janvier.
Dans l’élément diffusé, le sergent Fofana présenté comme le porte-parole des mutinés a déclaré à M. Ouattara ‘’notre renonciation aux revendications d’ordre financier ’’, à l’origine de la mutinerie de janvier, en présentant leurs ‘’excuses’’ au chef de l’Etat. Cette déclaration a été rejetée par des soldats.
Les militaires réclamaient initialement aux premières heures de la mutinerie, la somme de 12 millions de FCFA par personne dont une partie (5 millions FCFA) a été perçue en février.
CK-MC/ls/APA
‘’Nous sommes des militaires et nous ne pouvons pas à l’état actuel dévoiler le contenu de ce que le gouvernement nous propose. Il s’agit pour nous de sensibiliser nos camarades sur ce contenu car notre objectif n’est pas de fatiguer le Président Alassane Ouattara. Nous allons l’accompagner dans sa mission’’ a-t-il ajouté.
Pour lui, ‘’le Président de la République est pour nous comme un père. Donc si nous ne sommes pas là pour l’arranger, nous ne pouvons pas être là pour gâter, c’est impossible’’.
‘’Nous n’avons rien contre le Président. La manière dont nos délégués ont agi n’était pas correcte. C’est ça qui nous a énervé en plus des menaces’’ a-t-il poursuivi en soulignant, la nécessité de ‘’passer le message pour la bonne cause du pays. C’est notre devoir de le faire. Si les conditions sont respectées, nous rentrerons dans les casernes’’.
Lundi soir, dans une déclaration radiotélévisée lue par le ministre chargé de la défense Alain Richard Donwahi, le gouvernement ivoirien a dit avoir trouvé ‘’un accord sur les modalités de sortie de crise’’’, à l’issue de deux jours d’échanges entre l’état-major des armées et les soldats’’.
Jeudi soir, la télévision nationale a présenté une rencontre entre le président ivoirien Alassane Ouattara et des soldats se réclamant des ‘’8400’’ soldats qui se sont mutinés en janvier.
Dans l’élément diffusé, le sergent Fofana présenté comme le porte-parole des mutinés a déclaré à M. Ouattara ‘’notre renonciation aux revendications d’ordre financier ’’, à l’origine de la mutinerie de janvier, en présentant leurs ‘’excuses’’ au chef de l’Etat. Cette déclaration a été rejetée par des soldats.
Les militaires réclamaient initialement aux premières heures de la mutinerie, la somme de 12 millions de FCFA par personne dont une partie (5 millions FCFA) a été perçue en février.
CK-MC/ls/APA