Yamoussoukro - Plus de 100 élèves des lycées et collèges de Yamoussoukro ont été interpellés par la police des stupéfiants au cours de l’année scolaire 2016-2017, a confié la secrétaire générale de la direction régional de l’Education nationale, de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle (DRENETFP), Koné Adjara, mercredi, lors du lancement de la campagne de sensibilisation sur la toxicomanie initiée en milieu scolaire, par SOS village d’enfants Côte d’Ivoire, programme de Yamoussoukro.
« Le phénomène est réel et énorme, ce qui est dommage, même les filles font partie des toxicomanes interpellés », a déploré la secrétaire générale du DRENETFP, Koné Adjara, lors du lancement de la campagne contre la toxicomanie au lycée scientifique de Yamoussoukro en présence des autorités administratives de la ville. La représentante du DRENET-FP a souligné que tous les établissements sont influencés par le fléau, et comptent en leur sein, des vendeurs et consommateurs de drogues.
Au mois de mars, 50 boulettes de cannabis ont été retrouvés sur un élève dans un établissement à Yamoussoukro. Le phénomène touche les élèves de toutes les couches sociales avec pour conséquence l’abandon scolaire, des retards remarquables aux cours, une baisse du rendement scolaire, et des états d’agressivité, dégradation physique et mentale.
« C’est ensemble que nous devons lutter contre ce mal », a conseillé le représentant du directeur national SOS village enfant de Côte d’Ivoire, Anderson Odi. Il a encouragé l’implication du politique, des parents d’élèves et les responsables d'éducation pour éradiquer le mal qui ronge les enfants en milieu scolaire.
La campagne de sensibilisation sur la toxicomanie a pour thème « Phénomène drogue en milieu scolaire : comment y faire face ? ». Elle concerne 12 lycées et collèges de Yamoussoukro.
Démarrée par la formation des élèves sur la communication pour un changement de comportement et sur les signes primaires de reconnaissance d’un drogué, la campagne se poursuivra à la rentrée prochaine durant trois mois, avec pour objectif de fournir à plus de 3 000 élèves des lycées et collèges des informations et aptitudes nécessaires pour leur permettre d’éviter de s’adonner à la consommation de la drogue.
(AIP)
nam/fmo
« Le phénomène est réel et énorme, ce qui est dommage, même les filles font partie des toxicomanes interpellés », a déploré la secrétaire générale du DRENETFP, Koné Adjara, lors du lancement de la campagne contre la toxicomanie au lycée scientifique de Yamoussoukro en présence des autorités administratives de la ville. La représentante du DRENET-FP a souligné que tous les établissements sont influencés par le fléau, et comptent en leur sein, des vendeurs et consommateurs de drogues.
Au mois de mars, 50 boulettes de cannabis ont été retrouvés sur un élève dans un établissement à Yamoussoukro. Le phénomène touche les élèves de toutes les couches sociales avec pour conséquence l’abandon scolaire, des retards remarquables aux cours, une baisse du rendement scolaire, et des états d’agressivité, dégradation physique et mentale.
« C’est ensemble que nous devons lutter contre ce mal », a conseillé le représentant du directeur national SOS village enfant de Côte d’Ivoire, Anderson Odi. Il a encouragé l’implication du politique, des parents d’élèves et les responsables d'éducation pour éradiquer le mal qui ronge les enfants en milieu scolaire.
La campagne de sensibilisation sur la toxicomanie a pour thème « Phénomène drogue en milieu scolaire : comment y faire face ? ». Elle concerne 12 lycées et collèges de Yamoussoukro.
Démarrée par la formation des élèves sur la communication pour un changement de comportement et sur les signes primaires de reconnaissance d’un drogué, la campagne se poursuivra à la rentrée prochaine durant trois mois, avec pour objectif de fournir à plus de 3 000 élèves des lycées et collèges des informations et aptitudes nécessaires pour leur permettre d’éviter de s’adonner à la consommation de la drogue.
(AIP)
nam/fmo