Dans un point de presse animé samedi à Abidjan, le président du Syndicat National de l’Enseignement Primaire Public de Côte d’Ivoire (SNEPPCI), Paul Gnelou a invité l’ensemble des instituteurs de Côte d’Ivoire à prendre une part active à l’examen de l’entrée en sixième, dont le lancement officiel a été fait vendredi à Agboville par la Ministre de l’Education nationale Kandia Camara.
S’il note la prise en compte par le gouvernement d’une partie des préoccupations des instituteurs, Paul Gnelou a insisté sur la nécessité pour le Gouvernement de donner suite aux questions relatives au paiement du stock des arriérés, à l’adoption du nouveau statut général de la Fonction publique et au pré-salaire pour les instituteurs adjoints à partir de la seconde année.
A l’instar des autres syndicats de fonctionnaires, le SNEPPCI appelle au paiement du stock des arriérés liés aux mesures actées par le Gouvernement en 2009 estimé à 249,6 milliards de F CFA. Il exige également l’adoption du nouveau statut général de la Fonction publique à l’instar du code de travail du secteur privé, estimant celui en vigueur vieux de 25 ans. La création d’une classe hors grade pour les enseignants ayant atteint le dernier échelon fait partie des exigences du SNEPPCI.
Le SNEPPCI estime que conformément à la loi du travail en vigueur, les instituteurs adjoints devraient recevoir dès la deuxième année un pré-salaire vu qu’ils tiennent une classe en responsabilité.
Le SNEPPCI salue toutefois la satisfaction des préoccupations relatives à la réforme de la CGRAE et au Check-off.
Elisée B.
S’il note la prise en compte par le gouvernement d’une partie des préoccupations des instituteurs, Paul Gnelou a insisté sur la nécessité pour le Gouvernement de donner suite aux questions relatives au paiement du stock des arriérés, à l’adoption du nouveau statut général de la Fonction publique et au pré-salaire pour les instituteurs adjoints à partir de la seconde année.
A l’instar des autres syndicats de fonctionnaires, le SNEPPCI appelle au paiement du stock des arriérés liés aux mesures actées par le Gouvernement en 2009 estimé à 249,6 milliards de F CFA. Il exige également l’adoption du nouveau statut général de la Fonction publique à l’instar du code de travail du secteur privé, estimant celui en vigueur vieux de 25 ans. La création d’une classe hors grade pour les enseignants ayant atteint le dernier échelon fait partie des exigences du SNEPPCI.
Le SNEPPCI estime que conformément à la loi du travail en vigueur, les instituteurs adjoints devraient recevoir dès la deuxième année un pré-salaire vu qu’ils tiennent une classe en responsabilité.
Le SNEPPCI salue toutefois la satisfaction des préoccupations relatives à la réforme de la CGRAE et au Check-off.
Elisée B.