Yamoussoukro - L’Union économique et monétaire Ouest africaine finance depuis plus de trois ans, la réalisation de 38 projets de développement pour un montant de 78 milliards CFA au bénéfice de la Côte d’Ivoire, a confié mercredi, lors d’une réunion de coordination à Yamoussoukro, le Conseiller technique du représentant résident de la Commission de l’UEMOA en Côte d’Ivoire, Andrien Hognon Kohoué, soulignant une avancée significative des projets et programmes exécutés dans le pays.
« A ce jour, plus de 48 milliards FCFA représentant 60 % ont été décaissés par la Commission de l’UEMOA sur le montant global prévu », a déclaré le conseiller technique de la Commission de l’UEMOA en Côte d’Ivoire, Andrien Hognon Kohoué sur les projets et programmes communautaires qui concerne prioritairement, la sécurité alimentaire, les infrastructures, la gestion de l’environnement, les ressources humaines, et le développement de partenariat public-privé.
Andrien Kohoué a indiqué que les actes pris au sein des pays, sont à 100 % mis en œuvre. « Au niveau des reformes, les directives, les règlements et décisions de l’UEMOA, qui balisent comment doit se faire le développement, 58 % de ce qui est transposé dans les pays sont mis en œuvre», a-t-il dit.
Le Représentant résident de la commission de l’UEMOA en Côte d’Ivoire, Jean Gustave Sanon, dressant l’état d’avancement « satisfaisant » des projets et programmes communautaires a toutefois souligné des difficultés dans la mise en œuvre.
Selon Jean Gustave Sanon, les principales difficultés sont liées aux retards dans la délivrance des avis de non-objection, la faible capacité des PME dans la réalisation des projets, le faible taux d’absorption des ressources mises à disposition par la commission de l’UEMOA pour la réalisation de certains projets.
Il a ajouté que la non-pertinence des évaluations ex-ante des projets communautaires, l’absence de manuel de procédures pour l’exécution des projets, et l’absence d’un référentiel communautaire des prix des projets, sont autant d’obstacles qui freinent la réalisation des projets et programmes dans le délai.
« Nous travaillons à une meilleure organisation et suivi pour que tout soit parfait, de sorte à améliorer le taux de performance des projets et programmes communautaires en Côte d’Ivoire », a promis le représentant résident de la commission de l’UEMOA en Côte d’Ivoire, Jean Gustave Sanon.
L’atelier est organisé par le bureau de Représentation de la Commission en Côte d’Ivoire avec l’appui des ministères techniques. Il avait pour objectif d’informer et de sensibiliser les représentants de l’administration ivoirienne, et du secteur privé, sur les projets et les programmes financés en totalité et/ou en partie par la Commission de l’UEMOA au profit de la Côte d’Ivoire, et surtout faire l’état d’avancement de ces projets au 31 mars 2017.
nam/fmo
« A ce jour, plus de 48 milliards FCFA représentant 60 % ont été décaissés par la Commission de l’UEMOA sur le montant global prévu », a déclaré le conseiller technique de la Commission de l’UEMOA en Côte d’Ivoire, Andrien Hognon Kohoué sur les projets et programmes communautaires qui concerne prioritairement, la sécurité alimentaire, les infrastructures, la gestion de l’environnement, les ressources humaines, et le développement de partenariat public-privé.
Andrien Kohoué a indiqué que les actes pris au sein des pays, sont à 100 % mis en œuvre. « Au niveau des reformes, les directives, les règlements et décisions de l’UEMOA, qui balisent comment doit se faire le développement, 58 % de ce qui est transposé dans les pays sont mis en œuvre», a-t-il dit.
Le Représentant résident de la commission de l’UEMOA en Côte d’Ivoire, Jean Gustave Sanon, dressant l’état d’avancement « satisfaisant » des projets et programmes communautaires a toutefois souligné des difficultés dans la mise en œuvre.
Selon Jean Gustave Sanon, les principales difficultés sont liées aux retards dans la délivrance des avis de non-objection, la faible capacité des PME dans la réalisation des projets, le faible taux d’absorption des ressources mises à disposition par la commission de l’UEMOA pour la réalisation de certains projets.
Il a ajouté que la non-pertinence des évaluations ex-ante des projets communautaires, l’absence de manuel de procédures pour l’exécution des projets, et l’absence d’un référentiel communautaire des prix des projets, sont autant d’obstacles qui freinent la réalisation des projets et programmes dans le délai.
« Nous travaillons à une meilleure organisation et suivi pour que tout soit parfait, de sorte à améliorer le taux de performance des projets et programmes communautaires en Côte d’Ivoire », a promis le représentant résident de la commission de l’UEMOA en Côte d’Ivoire, Jean Gustave Sanon.
L’atelier est organisé par le bureau de Représentation de la Commission en Côte d’Ivoire avec l’appui des ministères techniques. Il avait pour objectif d’informer et de sensibiliser les représentants de l’administration ivoirienne, et du secteur privé, sur les projets et les programmes financés en totalité et/ou en partie par la Commission de l’UEMOA au profit de la Côte d’Ivoire, et surtout faire l’état d’avancement de ces projets au 31 mars 2017.
nam/fmo