Le Chef de l’Etat Burkinabé, Roch Marc Christian Kaboré a été réélu, dimanche, à Moronvia à la tête de l’Autorité du bassin de la Volta (ABV) pour un mandat de quatre ans.
Cette décision est intervenue à l’issue d’une session des chefs d’Etat et de gouvernement de l’Autorité qui s’est tenue en marge du 51ème sommet de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) ouverte dans la capitale libérienne, Monrovia.
L’Autorité du bassin de la Volta est une organisation africaine créée par les pays qui ont en partage le bassin de la Volta : Bénin, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, le Ghana, le Mali et le Togo.
Le 19 janvier 2007 à Ouagadougou, en marge du sommet de la CEDEAO, les chefs d’Etat des pays concernés ont procédé à la signature de la convention portant statut du fleuve Volta et création de l’Autorité du bassin de la Volta.
L’organisation qui a son siège la capitale burkinabé, Ouagadougou, est chargée de veiller à la gestion rationnelle et intégrée des ressources du bassin de la Volta, à la sauvegarde de l’environnement et de l’écosystème du fleuve. Le bassin hydrographique de la Volta, d’une superficie de 400 000 km² regroupe 20 millions d’utilisateurs.
LS/APA
Cette décision est intervenue à l’issue d’une session des chefs d’Etat et de gouvernement de l’Autorité qui s’est tenue en marge du 51ème sommet de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) ouverte dans la capitale libérienne, Monrovia.
L’Autorité du bassin de la Volta est une organisation africaine créée par les pays qui ont en partage le bassin de la Volta : Bénin, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, le Ghana, le Mali et le Togo.
Le 19 janvier 2007 à Ouagadougou, en marge du sommet de la CEDEAO, les chefs d’Etat des pays concernés ont procédé à la signature de la convention portant statut du fleuve Volta et création de l’Autorité du bassin de la Volta.
L’organisation qui a son siège la capitale burkinabé, Ouagadougou, est chargée de veiller à la gestion rationnelle et intégrée des ressources du bassin de la Volta, à la sauvegarde de l’environnement et de l’écosystème du fleuve. Le bassin hydrographique de la Volta, d’une superficie de 400 000 km² regroupe 20 millions d’utilisateurs.
LS/APA