Un atelier sur l’élaboration d’un système d’information sur les garanties environnementales et sociales et sur la cartographie des bénéfices multiples intégrant les activités liées à la réduction des émissions issues de la déforestation et de la dégradation forestière (REDD+) en Côte d’Ivoire se tient depuis mardi à Abidjan.
Lors de l’ouverture de ces assises à l’hôtel « Rose blanche », Ouattara Mahamane, spécialiste suivi et évaluation, représentant le coordonnateur du projet REDD+ en Côte d’Ivoire, a précisé que l’atelier vise principalement la mise en place d’un mécanisme de collecte, de traitement et de diffusion de données et d’indicateurs liés à la mise en œuvre du processus REDD+ en Côte d’Ivoire.
Ouattara a également indiqué que cette rencontre permettra de recueillir les avis et les suggestions des participants sur les résultats de l’étude sur la cartographie des bénéfices multiples liés au processus de REDD+ en Côte d’Ivoire notamment les études mettant en relief l’état des lieux sur l’usage des terres dans les activités agricoles, le couvert forestier, la biodiversité etc.
Cet atelier organisé en marge de la journée mondiale de l’environnement et en partenariat avec le Centre Suisse de recherche scientifique en Côte d’Ivoire (CSRS) et l’ONU-REDD prendra fin mercredi.
La Côte d’Ivoire est en route de finalisation de son processus de préparation à la REDD+. La première itération de sa stratégie nationale a été présentée à la 22e Conférence des parties (COP-22) de la Convention cadre des Nations Unies sur le changement climatique (CCNUCC).
Le couvert forestier ivoirien se situe entre trois à quatre millions d’hectares par rapport à 16 millions d’hectares lors de l’indépendance, 1960. Environ 200 000 hectares de forêts disparaissent chaque année.
bsb/fmo
Lors de l’ouverture de ces assises à l’hôtel « Rose blanche », Ouattara Mahamane, spécialiste suivi et évaluation, représentant le coordonnateur du projet REDD+ en Côte d’Ivoire, a précisé que l’atelier vise principalement la mise en place d’un mécanisme de collecte, de traitement et de diffusion de données et d’indicateurs liés à la mise en œuvre du processus REDD+ en Côte d’Ivoire.
Ouattara a également indiqué que cette rencontre permettra de recueillir les avis et les suggestions des participants sur les résultats de l’étude sur la cartographie des bénéfices multiples liés au processus de REDD+ en Côte d’Ivoire notamment les études mettant en relief l’état des lieux sur l’usage des terres dans les activités agricoles, le couvert forestier, la biodiversité etc.
Cet atelier organisé en marge de la journée mondiale de l’environnement et en partenariat avec le Centre Suisse de recherche scientifique en Côte d’Ivoire (CSRS) et l’ONU-REDD prendra fin mercredi.
La Côte d’Ivoire est en route de finalisation de son processus de préparation à la REDD+. La première itération de sa stratégie nationale a été présentée à la 22e Conférence des parties (COP-22) de la Convention cadre des Nations Unies sur le changement climatique (CCNUCC).
Le couvert forestier ivoirien se situe entre trois à quatre millions d’hectares par rapport à 16 millions d’hectares lors de l’indépendance, 1960. Environ 200 000 hectares de forêts disparaissent chaque année.
bsb/fmo