La Fondation Friedrich Naumann en partenariat avec le Bureau Ivoirien pour la Promotion de l’Intégration Africaine (BIPIA), a organisé le jeudi 08 juin, au siège de ladite Fondation, la première édition des "Cafés de l’Intégration du BIPIA" sur le thème : « Immigration clandestine : Responsabilités et impacts pour nos Etats Africains ». Cette conférence-débat a bénéficié du parrainage de M. Ally Coulibaly, Ministre de l’Intégration Africaine et des Ivoiriens de l’Extérieur (MIAIE), représenté par son Directeur de cabinet, M. Alassane Diamouténé.
Il a été question de réunir des experts autour de la thématique en vue de sensibiliser sur la gravité des conséquences de l’immigration clandestine, et de proposer des approches de solutions aux décideurs, en répondant aux préoccupations suivantes : Comment le phénomène se présente-t-il en Côte d’Ivoire? Quelles en sont les causes principales et l’impact social, politique, économique pour nos Etats africains ? Quel type d’approche pour l’endiguer ?
Selon le représentant du MIAIE, après la deuxième édition du Forum de la Diaspora Ivoirienne, organisée par le Ministère des l’Intégration africaine et des ivoiriens de l’extérieur en collaboration avec la Direction Générale des ivoiriens de l’extérieur (DGIE), du lundi 22 au mardi 23 mai 2017, à Abidjan. C’est avéré, l’engagement dudit ministère à accompagner toute initiative relative à la prévention et à la sensibilisation face à l’immigration clandestine.
Ce pourquoi, il a saisi l’opportunité de cette tribune pour traduire à la société civile le message du gouvernement qui a pris à cœur ce problème.
« On a souhaité communiquer beaucoup sur ce sujet pour que le maximum de jeunes soient sensibilisés et prévenus sur les dangers de cette immigration clandestine » a déclaré M. Alassane Diamouténé.
Selon lui, au cours de ces panels, le cadre institutionnel a été évoqué, mais également, la responsabilité des Etats. Parce ce qu’il n’est pas à exclure qu’on dise chaque fois qu’est ce que l’Etat fait pour nous ? C’est parce que les gouvernants ont échoué que les jeunes s’en vont etc…
« Vous avez vu qu’un éminent panéliste le prof Musa Soro a expliqué que tout n’est pas à rejeter au niveau de l’Etat. Il faut que nous-mêmes nous regardions le potentiel que nous avons sur place et que les jeunes eux-mêmes soient des acteurs du développement. Et qu’à partir de la cellule familiale, de nos sociétés, nous puissions regarder ce qui peut empêcher les jeunes de partir » a-t-il expliqué.
Il a poursuivi en affichant la dynamique de communication large enclenchée par son département qui a aussi besoin s’imprégner de toute sorte d’expertise en la matière telles que les recommandations qui vont naitre de ces panels aux fins de peaufiner la stratégie de lutte contre la migration irrégulière.
Quant à Mme Sophie Konaté, Chargée de programme de la Fondation Friedrich Naumann, elle a remercié le BIPIA pour cette collaboration autour de la question de l’immigration clandestine. Et partant, elle a rappelé le fait depuis 2014 cette Fondation s’est engagée auprès du Ministère de l’Intégration africaine pour mener plusieurs activités de sensibilisation face à ce phénomène, la dernière en date est la diffusion d’un film ce jeudi 08 juin, sur la migration irrégulière sur les antennes de la chaine nationale de télévision (RTI).
Notons que plusieurs panels ont meublé le programme de cette première édition des ‘’Cafés de l’intégration du BIPIA ‘’, notamment, « cadre institutionnel et politique migratoire en Afrique », présenté par M. Stephane Aka Angui, Directeur de cabinet adjoint du MIAIE, « crise migratoire : les Etats africains ont-ils failli ? », présenté par prof David Musa Soro, Directeur du BIPIA ; « Immigration clandestine : impacts économiques et approches de solution », présenté par Issiaka Fofana, DG des ivoiriens de l’extérieur.
Il a été question de réunir des experts autour de la thématique en vue de sensibiliser sur la gravité des conséquences de l’immigration clandestine, et de proposer des approches de solutions aux décideurs, en répondant aux préoccupations suivantes : Comment le phénomène se présente-t-il en Côte d’Ivoire? Quelles en sont les causes principales et l’impact social, politique, économique pour nos Etats africains ? Quel type d’approche pour l’endiguer ?
Selon le représentant du MIAIE, après la deuxième édition du Forum de la Diaspora Ivoirienne, organisée par le Ministère des l’Intégration africaine et des ivoiriens de l’extérieur en collaboration avec la Direction Générale des ivoiriens de l’extérieur (DGIE), du lundi 22 au mardi 23 mai 2017, à Abidjan. C’est avéré, l’engagement dudit ministère à accompagner toute initiative relative à la prévention et à la sensibilisation face à l’immigration clandestine.
Ce pourquoi, il a saisi l’opportunité de cette tribune pour traduire à la société civile le message du gouvernement qui a pris à cœur ce problème.
« On a souhaité communiquer beaucoup sur ce sujet pour que le maximum de jeunes soient sensibilisés et prévenus sur les dangers de cette immigration clandestine » a déclaré M. Alassane Diamouténé.
Selon lui, au cours de ces panels, le cadre institutionnel a été évoqué, mais également, la responsabilité des Etats. Parce ce qu’il n’est pas à exclure qu’on dise chaque fois qu’est ce que l’Etat fait pour nous ? C’est parce que les gouvernants ont échoué que les jeunes s’en vont etc…
« Vous avez vu qu’un éminent panéliste le prof Musa Soro a expliqué que tout n’est pas à rejeter au niveau de l’Etat. Il faut que nous-mêmes nous regardions le potentiel que nous avons sur place et que les jeunes eux-mêmes soient des acteurs du développement. Et qu’à partir de la cellule familiale, de nos sociétés, nous puissions regarder ce qui peut empêcher les jeunes de partir » a-t-il expliqué.
Il a poursuivi en affichant la dynamique de communication large enclenchée par son département qui a aussi besoin s’imprégner de toute sorte d’expertise en la matière telles que les recommandations qui vont naitre de ces panels aux fins de peaufiner la stratégie de lutte contre la migration irrégulière.
Quant à Mme Sophie Konaté, Chargée de programme de la Fondation Friedrich Naumann, elle a remercié le BIPIA pour cette collaboration autour de la question de l’immigration clandestine. Et partant, elle a rappelé le fait depuis 2014 cette Fondation s’est engagée auprès du Ministère de l’Intégration africaine pour mener plusieurs activités de sensibilisation face à ce phénomène, la dernière en date est la diffusion d’un film ce jeudi 08 juin, sur la migration irrégulière sur les antennes de la chaine nationale de télévision (RTI).
Notons que plusieurs panels ont meublé le programme de cette première édition des ‘’Cafés de l’intégration du BIPIA ‘’, notamment, « cadre institutionnel et politique migratoire en Afrique », présenté par M. Stephane Aka Angui, Directeur de cabinet adjoint du MIAIE, « crise migratoire : les Etats africains ont-ils failli ? », présenté par prof David Musa Soro, Directeur du BIPIA ; « Immigration clandestine : impacts économiques et approches de solution », présenté par Issiaka Fofana, DG des ivoiriens de l’extérieur.