Une mission de travail de la délégation de l’Agence ivoirienne de gestion des fréquences (AIGF) à Paris (France) s’est achevée sur une note de ‘’satisfaction’’, rapporte une note d’information de l’agence transmise, mercredi, à APA.
Selon cette note d’information, la mission conduite par Dr Yacouba Coulibaly, directeur général de l’AIGF a séjourné du 12 au 14 juin à Paris où elle a eu des séances de travail avec des experts de l’Agence nationale de gestion des fréquences (ANFR) de France dans le cadre de la réactivation d’un accord de coopération qui lie les deux structures de gestion de fréquences radiophoniques.
‘’Nous sommes heureux d’avoir effectué cette mission qui nous a permis de confronter nos idées et nos pratiques avec celles des experts de l’Agence nationale de gestion des fréquences de France et d’avoir beaucoup appris de leurs expériences’’, s’est réjoui Dr. Yacouba Coulibaly au terme de la mission, rapporte la note.
‘’De nos travaux qui avaient l’allure de séminaire de formation tant les sujets abordés concernaient des domaines pointus de notre métier, nous avons tiré beaucoup de leçons que nous allons partager avec nos équipes restées à Abidjan’’, a-t-il promis.
A en croire le document, la délégation ivoirienne a pu se rendre compte qu’elle gagnerait à développer ‘’le pôle contrôle des fréquences’’, qui présente un intérêt tout aussi bien pour l’Etat, les opérateurs que pour la population.
‘’Le contrôle est l’une des disciplines les plus importantes dans la gestion des fréquences. Il va falloir se doter d’équipement nomades, transportables qui nous permettent de faires les mesures en cas de besoin pour rassurer les opérateurs et la population’’ a soutenu Dr. Coulibaly.
Sur la question de l’exposition au champ électromagnétique qui fait l’objet d’inquiétudes des populations dans les pays, l’expert de l’ANFR, Jean-Benoît Agnani a expliqué dans une présentation sur le thème +exposition du public aux ondes : les enjeux, le cadre réglementaire, rôle de l’ANFR et niveau d’intervention de cabinet+, que même ‘’en France l’inquiétude demeure malgré tous les efforts de l’agence pour les rassurer’’, rapporte, encore la note.
Il a indiqué qu’après les antennes radioélectriques, ‘’le débat s’est déporté maintenant au niveau des compteurs intelligents’’.
‘’En Côte d’Ivoire,c’est sur les antennes relais que certaines personnes se posent des questions.Il nous faut donc anticiper sur ces sujets et faire comme nos amis français l’ont fait, c’est-à dire nous rendre sur les lieux où il y aurait des doutes exprimés par la population pour cerner les problèmes en faisant des mesures de conformité. Puis communiquer suffisamment sur ce sujet pour faire comprendre à la population que tant que les normes édictées sont respectées, il n’y a aucune inquiétude à se faire’’ a dit Yacouba Coulibaly.
Ainsi, comme l’ANFR, l’AIGF veut désormais se rapprocher davantage de la population pour lui expliquer ce qu’est ‘’une antenne relai, par exemple, l’intérêt de les implanter et les précautions à observer pour ne pas s’exposer aux ondes radioélectrique’’,précise la note qui souligne les ‘’regrets’’ du Dr Yacouba Coulibaly en lamatière.
L’AIGF veut,également, convaincre les organisateurs des grands évènements en Côte d’Ivoireà ‘’recourir aux services de l’Agence pour faire le contrôle des fréquences et s’assurer qu’il n’y a pas de brouillage’’, comme cela se fait en France avec l’ANFR.
Concernant l’exécution du projet de transition vers la télévision numérique terrestre, le Dr. Yacouba Coulibaly pense que son agence peut et doit jouer le même rôle que celle de la France dansce domaine.
‘’A savoir assurer la gestion du spectre mais aussi aider les populations pour qui cette technologie est nouvelle à configurer leur récepteur afin qu’elles puissent profiter de cette avancée technologies que le gouvernement a décidé de mettre à leur disposition’’, a dit le directeur général de l’AIGF ‘’heureux d’avoir relancé la coopération entre l’AIGF et l’ANFR’’.
Outre, le Dr. Yacouba Coulibaly, ladélégation ivoirienne était composée du directeur de cabinet du ministre BrunoKoné, André Augustin Apété, d’Aka Sayé Lazare, PCA de l’AIGF, de Bini Kouamé etChristiane Yangni Angaté, conseillère technique chargée de la communication de l’AIGF.
HS/ls/APA
Selon cette note d’information, la mission conduite par Dr Yacouba Coulibaly, directeur général de l’AIGF a séjourné du 12 au 14 juin à Paris où elle a eu des séances de travail avec des experts de l’Agence nationale de gestion des fréquences (ANFR) de France dans le cadre de la réactivation d’un accord de coopération qui lie les deux structures de gestion de fréquences radiophoniques.
‘’Nous sommes heureux d’avoir effectué cette mission qui nous a permis de confronter nos idées et nos pratiques avec celles des experts de l’Agence nationale de gestion des fréquences de France et d’avoir beaucoup appris de leurs expériences’’, s’est réjoui Dr. Yacouba Coulibaly au terme de la mission, rapporte la note.
‘’De nos travaux qui avaient l’allure de séminaire de formation tant les sujets abordés concernaient des domaines pointus de notre métier, nous avons tiré beaucoup de leçons que nous allons partager avec nos équipes restées à Abidjan’’, a-t-il promis.
A en croire le document, la délégation ivoirienne a pu se rendre compte qu’elle gagnerait à développer ‘’le pôle contrôle des fréquences’’, qui présente un intérêt tout aussi bien pour l’Etat, les opérateurs que pour la population.
‘’Le contrôle est l’une des disciplines les plus importantes dans la gestion des fréquences. Il va falloir se doter d’équipement nomades, transportables qui nous permettent de faires les mesures en cas de besoin pour rassurer les opérateurs et la population’’ a soutenu Dr. Coulibaly.
Sur la question de l’exposition au champ électromagnétique qui fait l’objet d’inquiétudes des populations dans les pays, l’expert de l’ANFR, Jean-Benoît Agnani a expliqué dans une présentation sur le thème +exposition du public aux ondes : les enjeux, le cadre réglementaire, rôle de l’ANFR et niveau d’intervention de cabinet+, que même ‘’en France l’inquiétude demeure malgré tous les efforts de l’agence pour les rassurer’’, rapporte, encore la note.
Il a indiqué qu’après les antennes radioélectriques, ‘’le débat s’est déporté maintenant au niveau des compteurs intelligents’’.
‘’En Côte d’Ivoire,c’est sur les antennes relais que certaines personnes se posent des questions.Il nous faut donc anticiper sur ces sujets et faire comme nos amis français l’ont fait, c’est-à dire nous rendre sur les lieux où il y aurait des doutes exprimés par la population pour cerner les problèmes en faisant des mesures de conformité. Puis communiquer suffisamment sur ce sujet pour faire comprendre à la population que tant que les normes édictées sont respectées, il n’y a aucune inquiétude à se faire’’ a dit Yacouba Coulibaly.
Ainsi, comme l’ANFR, l’AIGF veut désormais se rapprocher davantage de la population pour lui expliquer ce qu’est ‘’une antenne relai, par exemple, l’intérêt de les implanter et les précautions à observer pour ne pas s’exposer aux ondes radioélectrique’’,précise la note qui souligne les ‘’regrets’’ du Dr Yacouba Coulibaly en lamatière.
L’AIGF veut,également, convaincre les organisateurs des grands évènements en Côte d’Ivoireà ‘’recourir aux services de l’Agence pour faire le contrôle des fréquences et s’assurer qu’il n’y a pas de brouillage’’, comme cela se fait en France avec l’ANFR.
Concernant l’exécution du projet de transition vers la télévision numérique terrestre, le Dr. Yacouba Coulibaly pense que son agence peut et doit jouer le même rôle que celle de la France dansce domaine.
‘’A savoir assurer la gestion du spectre mais aussi aider les populations pour qui cette technologie est nouvelle à configurer leur récepteur afin qu’elles puissent profiter de cette avancée technologies que le gouvernement a décidé de mettre à leur disposition’’, a dit le directeur général de l’AIGF ‘’heureux d’avoir relancé la coopération entre l’AIGF et l’ANFR’’.
Outre, le Dr. Yacouba Coulibaly, ladélégation ivoirienne était composée du directeur de cabinet du ministre BrunoKoné, André Augustin Apété, d’Aka Sayé Lazare, PCA de l’AIGF, de Bini Kouamé etChristiane Yangni Angaté, conseillère technique chargée de la communication de l’AIGF.
HS/ls/APA
