‘’L’efficacité de la lutte contre l’apatridie dépend d’abord de l’élimination des causes de la non déclaration des naissances, causes intimement liées aux barrières administratives, législatives, économiques, politiques, et la non prise en compte des réalités culturelles’’, c’est en ces termes que la présidente de la Commission Nationale des Droits de l’Homme de Côte d’Ivoire, Namizata Sangaré, a planté le décor de la table-ronde sur l’Apatridie, organisée par son institution, le mardi 27 juin 2017, à la salle de conférence du Cerap, Cocody, Mermoz.
Cette table-ronde a été ponctuée par d’importantes communications, dont celles de Francis Djaha, représentant du Bureau du Haut-Commissariat pour les réfugiés en Côte d’Ivoire (HCR), et de Madame Djè Marthe, du Service d’Aide et d’Assistance aux Réfugiés et Apatrides (SAARA). Ils sont respectivement intervenus sur les problématiques de la nationalité et de l’apatridie. Cette table-ronde avait pour objectif de définir une approche globale pour mieux appréhender cette problématique, à travers des réflexions critiques sur les mesures à mettre en application, pour éradiquer l’apatridie et renforcer le respect du droit à la citoyenneté. Notons que ces réflexions devraient contribuer à mettre en place des mécanismes visant à protéger les enfants, les personnes sans lien juridique et sans identité sur toute l’étendue du territoire ivoirien.
Cette table-ronde a été ponctuée par d’importantes communications, dont celles de Francis Djaha, représentant du Bureau du Haut-Commissariat pour les réfugiés en Côte d’Ivoire (HCR), et de Madame Djè Marthe, du Service d’Aide et d’Assistance aux Réfugiés et Apatrides (SAARA). Ils sont respectivement intervenus sur les problématiques de la nationalité et de l’apatridie. Cette table-ronde avait pour objectif de définir une approche globale pour mieux appréhender cette problématique, à travers des réflexions critiques sur les mesures à mettre en application, pour éradiquer l’apatridie et renforcer le respect du droit à la citoyenneté. Notons que ces réflexions devraient contribuer à mettre en place des mécanismes visant à protéger les enfants, les personnes sans lien juridique et sans identité sur toute l’étendue du territoire ivoirien.