Les statistiques de 2013 indiquent qu’il y a environ 600.000 apatrides en Côte d’Ivoire que l’on n’arrive pas à localiser aisément.
La Commission nationale des droits de l’homme de Côte d’Ivoire (Cndhci) a organisé, hier, une table ronde sur l’apatridie en Côte d’Ivoire. Pour la présidente de la Cndhci, Namizata Sangaré, « l’apatridie demeure, de loin, la plus grave conséquence de la non déclaration des naissances. Le respect de la dignité humaine commande que nous portions cette question, face au nombre sans cesse croissant de personnes qui n’ont aucun lien juridique quant à la citoyenneté avec un pays ».
Selon elle, l’efficacité de la lutte contre l’apatridie dépend d’abord de l’élimination des causes de la non déclaration des... suite de l'article sur Fraternité Matin
La Commission nationale des droits de l’homme de Côte d’Ivoire (Cndhci) a organisé, hier, une table ronde sur l’apatridie en Côte d’Ivoire. Pour la présidente de la Cndhci, Namizata Sangaré, « l’apatridie demeure, de loin, la plus grave conséquence de la non déclaration des naissances. Le respect de la dignité humaine commande que nous portions cette question, face au nombre sans cesse croissant de personnes qui n’ont aucun lien juridique quant à la citoyenneté avec un pays ».
Selon elle, l’efficacité de la lutte contre l’apatridie dépend d’abord de l’élimination des causes de la non déclaration des... suite de l'article sur Fraternité Matin