La 11eme édition de la Conférence annuelle du Cajou organisée par l’Alliance Africaine pour le Cajou (ACA), prévue du 18 au 21 septembre 2017 dans la capitale béninoise Cotonou, a été officiellement lancée ce vendredi 30 juin 2017 à Abidjan.
Cette Conférence qui sera organisée en collaboration avec l’Association de la chaîne de valeur du Bénin, à savoir l’Interprofession de la filière anacarde (IFA), et le gouvernement du Bénin, vise à servir de plateforme pour encourager les partenariats stratégiques, les investissements, le partage d’expériences ainsi que pour faire des affaires, a expliqué Johanna Adotevi, membre du Comité exécutif de l’ACA.
La Conférence annuelle du Cajou réunira durant quatre jours des experts de l’industrie du cajou à travers la chaîne de valeur, des producteurs, des négociants, des transformateurs, des exportateurs, des institutions gouvernementales, des équipementiers et des prestataires de services pour apprendre et discuter des voies et moyens de stimuler la production et délibérer sur l’avenir de la transformation en Afrique ainsi que sur l’organisation de la filière. Il intègrera des sessions spécifiques à l’industrie, des possibilités de réseautage et des panels qui se pencheront sur une variété de questions transversales, notamment le financement du cajou, les marchés de commercialisation des produits de base et la sécurité alimentaire, l’investissement dans les marchés africains, l’amélioration des systèmes d’information sur les marchés, les innovations en matière de transformation, la recherche et les techniques de production.
Simplice Gué du Conseil Coton Anacarde de la Côte d’Ivoire a indiqué que l’anacarde contribue énormément à l’économie locale. Et la noix de cajou reste un élément important dans la politique agricole des Etats producteurs. ‘’Pour la Côte d’Ivoire spécifiquement, les recettes d’exportation de la noix de cajou s’élèvent à 400 milliards de F CFA pour chaque campagne’’, a-t-il révélé. Simplice Gué a en outre indiqué que la production africaine de la noix de cajou est passée de 1,2 millions de tonnes en 2014 à 1,8 millions de tonnes en 2016.
Cependant le défi pour les Etats Africains demeure celui de la transformation. En Côte d’Ivoire sur 650.000 tonnes produits seulement 40.000 tonnes sont transformées localement, selon les chiffres du Conseil Coton Anacarde.
L’édition 2016 de la Conférence annuelle du Cajou qui s’est tenue à Bissau, a rassemblé plus de 250 participants issus de 28 pays. Lors de la Conférence de cette année, une initiative clé sera d’élaborer et d’examiner des stratégies adaptables aux demandes du secteur en pleine évolution et de s’accorder sur une vision commune pour l’industrie, d’où le thème : « Une nouvelle vision pour des partenariats et des investissements ». Un large éventail d’experts est attendu pour qui prononcer des discours et assurer la modération des forums thématiques, des tables rondes et des sessions pratiques.
L’Alliance africaine du cajou a été créée en 2005 en tant qu’association d’entreprises africaines et internationales ayant un intérêt dans la promotion d’une industrie africaine du cajou compétitive au plan mondial. Aujourd’hui, l’ACA a une nouvelle vision qui vise à créer une industrie africaine du cajou durable offrant des produits à valeur ajoutée compétitifs à l’échelle mondiale et garantit une rentabilité pour tous les acteurs. Un grand nombre d’entreprises membres travaillent sous la bannière de l’ACA et représentent tous les aspects de la chaîne de valeur du cajou, à savoir les producteurs, les transformateurs, les négociants et les acheteurs internationaux.
Elisée B.
Cette Conférence qui sera organisée en collaboration avec l’Association de la chaîne de valeur du Bénin, à savoir l’Interprofession de la filière anacarde (IFA), et le gouvernement du Bénin, vise à servir de plateforme pour encourager les partenariats stratégiques, les investissements, le partage d’expériences ainsi que pour faire des affaires, a expliqué Johanna Adotevi, membre du Comité exécutif de l’ACA.
La Conférence annuelle du Cajou réunira durant quatre jours des experts de l’industrie du cajou à travers la chaîne de valeur, des producteurs, des négociants, des transformateurs, des exportateurs, des institutions gouvernementales, des équipementiers et des prestataires de services pour apprendre et discuter des voies et moyens de stimuler la production et délibérer sur l’avenir de la transformation en Afrique ainsi que sur l’organisation de la filière. Il intègrera des sessions spécifiques à l’industrie, des possibilités de réseautage et des panels qui se pencheront sur une variété de questions transversales, notamment le financement du cajou, les marchés de commercialisation des produits de base et la sécurité alimentaire, l’investissement dans les marchés africains, l’amélioration des systèmes d’information sur les marchés, les innovations en matière de transformation, la recherche et les techniques de production.
Simplice Gué du Conseil Coton Anacarde de la Côte d’Ivoire a indiqué que l’anacarde contribue énormément à l’économie locale. Et la noix de cajou reste un élément important dans la politique agricole des Etats producteurs. ‘’Pour la Côte d’Ivoire spécifiquement, les recettes d’exportation de la noix de cajou s’élèvent à 400 milliards de F CFA pour chaque campagne’’, a-t-il révélé. Simplice Gué a en outre indiqué que la production africaine de la noix de cajou est passée de 1,2 millions de tonnes en 2014 à 1,8 millions de tonnes en 2016.
Cependant le défi pour les Etats Africains demeure celui de la transformation. En Côte d’Ivoire sur 650.000 tonnes produits seulement 40.000 tonnes sont transformées localement, selon les chiffres du Conseil Coton Anacarde.
L’édition 2016 de la Conférence annuelle du Cajou qui s’est tenue à Bissau, a rassemblé plus de 250 participants issus de 28 pays. Lors de la Conférence de cette année, une initiative clé sera d’élaborer et d’examiner des stratégies adaptables aux demandes du secteur en pleine évolution et de s’accorder sur une vision commune pour l’industrie, d’où le thème : « Une nouvelle vision pour des partenariats et des investissements ». Un large éventail d’experts est attendu pour qui prononcer des discours et assurer la modération des forums thématiques, des tables rondes et des sessions pratiques.
L’Alliance africaine du cajou a été créée en 2005 en tant qu’association d’entreprises africaines et internationales ayant un intérêt dans la promotion d’une industrie africaine du cajou compétitive au plan mondial. Aujourd’hui, l’ACA a une nouvelle vision qui vise à créer une industrie africaine du cajou durable offrant des produits à valeur ajoutée compétitifs à l’échelle mondiale et garantit une rentabilité pour tous les acteurs. Un grand nombre d’entreprises membres travaillent sous la bannière de l’ACA et représentent tous les aspects de la chaîne de valeur du cajou, à savoir les producteurs, les transformateurs, les négociants et les acheteurs internationaux.
Elisée B.