La seconde journée du lancement officiel des activités du REALIC (Réseau ouest africain de lutte contre l’immigration clandestine) s’est déroulée dans l’après midi du samedi 15 juillet 2017, à la place de la grande Mosquée de Daloa, avec la prestation de la Troupe théâtrale de l’Université Jean Lorougnon Guédé de Daloa et trois motions de sensibilisation en langues locales, bété, baoulé et dioula.
L’objectif de cette activité à caractère culturel, est d’utiliser les ethnies majoritaires de Daloa pour atteindre le grand nombre de communautés dans la sensibilisation sur « les dangers liés à l’immigration clandestine ». Par le biais du théâtre, les jeunes étudiants de Daloa se sont engagés dans ce combat, en utilisant le divertissement pour faire passer le message de dissuasion et de refus d’emprunter la voie de la migration irrégulière.
En effet, selon la présidente du REALIC, Mme Florentine Djiro, c’est un signal fort que ce réseau vient lancer dans cette région du Haut Sassandra réputée être le bastion de recrutement de jeunes et de candidats à l’immigration clandestine.
« Daloa étant le point de départ des jeunes migrants ivoiriens en situation irrégulière, nous avons choisi d’y orienter notre action de sensibilisation des jeunes face aux dangers liés à l’immigration clandestine. En deux jours nous avons pu avoir un engouement, avec l’implication de différents chefs religieux et de communautés qui sont prêts à nous accompagner par la sensibilisation de leurs bases afin de toucher plus de personnes » a indiqué Florentine Djiro.
Par ailleurs, elle a confié qu’en termes de perspectives, le REALIC a mis en place des plateformes pour accompagner la sensibilisation sur le terrain. La plateforme de Daloa a été investie ce vendredi 14 juillet, et aura pour mission d’organiser des focus group mensuels dans tous les quartiers de ladite commune. Elle devra également intégrer les femmes et les jeunes dans le but de toucher la cellule familiale.
« Selon les témoignages, ces jeunes ou candidats à l’immigrations clandestine sont généralement encouragés par un parent (père, mère, oncle, frère ou sœur). Ce pourquoi, nous voulons commencer par la cellule familiale et remonter au niveau des communautés avec l’implication des chefs religieux » a révélé Florentine Djiro, présidente du REALIC.
Né en mars 2017, le REALIC a décidé de s’engager dans la sensibilisation en amont des jeunes ou candidats à la migration irrégulière et pour la mobilisation de fonds pour la création d’AGR (activités génératrices de revenus) au profit de cette cible.
« Un candidat à l’immigration clandestine découragé, c’est une vie sauvée » REALIC.
JOB
L’objectif de cette activité à caractère culturel, est d’utiliser les ethnies majoritaires de Daloa pour atteindre le grand nombre de communautés dans la sensibilisation sur « les dangers liés à l’immigration clandestine ». Par le biais du théâtre, les jeunes étudiants de Daloa se sont engagés dans ce combat, en utilisant le divertissement pour faire passer le message de dissuasion et de refus d’emprunter la voie de la migration irrégulière.
En effet, selon la présidente du REALIC, Mme Florentine Djiro, c’est un signal fort que ce réseau vient lancer dans cette région du Haut Sassandra réputée être le bastion de recrutement de jeunes et de candidats à l’immigration clandestine.
« Daloa étant le point de départ des jeunes migrants ivoiriens en situation irrégulière, nous avons choisi d’y orienter notre action de sensibilisation des jeunes face aux dangers liés à l’immigration clandestine. En deux jours nous avons pu avoir un engouement, avec l’implication de différents chefs religieux et de communautés qui sont prêts à nous accompagner par la sensibilisation de leurs bases afin de toucher plus de personnes » a indiqué Florentine Djiro.
Par ailleurs, elle a confié qu’en termes de perspectives, le REALIC a mis en place des plateformes pour accompagner la sensibilisation sur le terrain. La plateforme de Daloa a été investie ce vendredi 14 juillet, et aura pour mission d’organiser des focus group mensuels dans tous les quartiers de ladite commune. Elle devra également intégrer les femmes et les jeunes dans le but de toucher la cellule familiale.
« Selon les témoignages, ces jeunes ou candidats à l’immigrations clandestine sont généralement encouragés par un parent (père, mère, oncle, frère ou sœur). Ce pourquoi, nous voulons commencer par la cellule familiale et remonter au niveau des communautés avec l’implication des chefs religieux » a révélé Florentine Djiro, présidente du REALIC.
Né en mars 2017, le REALIC a décidé de s’engager dans la sensibilisation en amont des jeunes ou candidats à la migration irrégulière et pour la mobilisation de fonds pour la création d’AGR (activités génératrices de revenus) au profit de cette cible.
« Un candidat à l’immigration clandestine découragé, c’est une vie sauvée » REALIC.
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