La Banque africaine de développement (BAD) a approuvé un prêt de 28,9 milliards de FCFA en faveur de la Côte d’Ivoire afin de permettre au pays de financer son programme d’appui à la gouvernance économique et à la croissance.
Ce programme vise à renforcer l’efficacité et la transparence dans la gestion des finances publiques et à consolider la tendance positive des indicateurs de fragilité, tout en maintenant une croissance forte, soutenue et inclusive, selon une note d’information de la BAD publiée mardi.
Après deux décennies de récession économique due aux crises militaro-politiques, la Côte d’Ivoire a retrouvé depuis 2012 un taux de croissance moyen annuel de 9%.
Mais pour la BAD, "des défis majeurs doivent être relevés pour permettre au pays d’atteindre ses objectifs de développement économiques et sociaux".
"Il s’agit, notamment, de parvenir à une répartition plus équitable des sources de la croissance afin de réduire sensiblement l’incidence de la pauvreté qui reste encore très élevée dans le pays, de renforcer la gouvernance du secteur de l’énergie et du café-cacao, de développer des chaînes de valeur pour améliorer le niveau de transformation des produits locaux, d’assainir le secteur bancaire public et de réformer le foncier rural", indique la BAD.
"Le double choc fiscal (baisse des recettes budgétaires et hausse de la demande sociale) pourrait compromettre la soutenabilité des gains économiques et sociaux des cinq dernières années, une situation susceptible d’être une source de menace pour la stabilité macro-économique, voire pour la stabilité générale du pays", explique le directeur par intérim du Département de la gouvernance et des réformes économiques et financières de la BAD, Abdoulaye Coulibaly.
A l’en croire, ce programme constitue "la réponse de la Banque pour soutenir les efforts du gouvernement ivoirien, visant à sauvegarder la dynamique de croissance de ces dernières années".
Ce programme vise à renforcer l’efficacité et la transparence dans la gestion des finances publiques et à consolider la tendance positive des indicateurs de fragilité, tout en maintenant une croissance forte, soutenue et inclusive, selon une note d’information de la BAD publiée mardi.
Après deux décennies de récession économique due aux crises militaro-politiques, la Côte d’Ivoire a retrouvé depuis 2012 un taux de croissance moyen annuel de 9%.
Mais pour la BAD, "des défis majeurs doivent être relevés pour permettre au pays d’atteindre ses objectifs de développement économiques et sociaux".
"Il s’agit, notamment, de parvenir à une répartition plus équitable des sources de la croissance afin de réduire sensiblement l’incidence de la pauvreté qui reste encore très élevée dans le pays, de renforcer la gouvernance du secteur de l’énergie et du café-cacao, de développer des chaînes de valeur pour améliorer le niveau de transformation des produits locaux, d’assainir le secteur bancaire public et de réformer le foncier rural", indique la BAD.
"Le double choc fiscal (baisse des recettes budgétaires et hausse de la demande sociale) pourrait compromettre la soutenabilité des gains économiques et sociaux des cinq dernières années, une situation susceptible d’être une source de menace pour la stabilité macro-économique, voire pour la stabilité générale du pays", explique le directeur par intérim du Département de la gouvernance et des réformes économiques et financières de la BAD, Abdoulaye Coulibaly.
A l’en croire, ce programme constitue "la réponse de la Banque pour soutenir les efforts du gouvernement ivoirien, visant à sauvegarder la dynamique de croissance de ces dernières années".