Mercredi 19 juillet, la Cour d'appel de la CPI a ordonné aux juges de réexaminer la demande de libération provisoire de l'ancien président ivoirien Laurent Gbagbo qui est incarcéré depuis fin 2011. Il est poursuivi pour de présumés crimes contre l'humanité pendant la crise post-électorale en Côte d'Ivoire. Cet arrêt met en lumière un problème récurrent: celui des longues procédures des procès à la CPI.
Pour accélérer les procédures, il y a tout un travail en amont : « Désormais, le bureau du procureur avance bien sur son enquête avant la confirmation des charges », indique Fadi el-Abdallah, le porte-parole de la CPI. Ce responsable attribue les lenteurs des procédures à la « complexité des affaires jugées » suite de l'article sur RFI
Pour accélérer les procédures, il y a tout un travail en amont : « Désormais, le bureau du procureur avance bien sur son enquête avant la confirmation des charges », indique Fadi el-Abdallah, le porte-parole de la CPI. Ce responsable attribue les lenteurs des procédures à la « complexité des affaires jugées » suite de l'article sur RFI