Agboville – La directrice de l’Institut de formation et d’éducation féminine (IFEF) d’Agboville, Kouassi Mamouna Bamba évoque un besoin réel en personnel enseignant pour mieux encadrer les auditrices dont l’effectif va croissant depuis 2014, selon elle.
Mme Kouassi qui a fait cette révélation vendredi à l’AIP, à l’issue de la cérémonie de sortie de la dernière promotion 2014-2017 dudit institut, avec un niveau de réussite de 19 admises sur 23 candidates présentées à l’examen de fin de formation, a indiqué que pour un total de 90 auditrices inscrites pour l’année scolaire qui vient de s’achever il y avait en tout, y compris la directrice elle-même sept maîtresses d’éducation permanentes pour assurer l’encadrement.
Or, il aurait fallu au moins une dizaine d’enseignantes pour un encadrement efficient. Dans la mesure où la structure, en plus de sa mission d’encadrer des jeune filles analphabètes, déscolarisées ou désireuses d’apprendre un métier sur place à Agboville, a aussi l’obligation, a-t-elle dit, d’encadrer les associations des femmes du milieu rural afin de les accompagner dans leurs activités, de mener des activités communautaires envers elles, en vue d’améliorer leurs conditions de vie, etc.
Créée depuis 1962, l’IFEF d’Agboville a formé des centaines d’auditrices dans les filières de la couture, la pâtisserie, la broderie, le crochet et l’art floral en matière d’apprentissage pratique. Concernant l’éducation à la vie familiale qui est plus théorique, elle instruit les auditrices en puériculture, hygiène générale, éducation civique et morale, entrepreneuriat et en alphabétisation.
(AIP)
yy/fmo
Mme Kouassi qui a fait cette révélation vendredi à l’AIP, à l’issue de la cérémonie de sortie de la dernière promotion 2014-2017 dudit institut, avec un niveau de réussite de 19 admises sur 23 candidates présentées à l’examen de fin de formation, a indiqué que pour un total de 90 auditrices inscrites pour l’année scolaire qui vient de s’achever il y avait en tout, y compris la directrice elle-même sept maîtresses d’éducation permanentes pour assurer l’encadrement.
Or, il aurait fallu au moins une dizaine d’enseignantes pour un encadrement efficient. Dans la mesure où la structure, en plus de sa mission d’encadrer des jeune filles analphabètes, déscolarisées ou désireuses d’apprendre un métier sur place à Agboville, a aussi l’obligation, a-t-elle dit, d’encadrer les associations des femmes du milieu rural afin de les accompagner dans leurs activités, de mener des activités communautaires envers elles, en vue d’améliorer leurs conditions de vie, etc.
Créée depuis 1962, l’IFEF d’Agboville a formé des centaines d’auditrices dans les filières de la couture, la pâtisserie, la broderie, le crochet et l’art floral en matière d’apprentissage pratique. Concernant l’éducation à la vie familiale qui est plus théorique, elle instruit les auditrices en puériculture, hygiène générale, éducation civique et morale, entrepreneuriat et en alphabétisation.
(AIP)
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