Abidjan – La Commission de l’Union européenne (UE) a débloqué une somme de 2,5 millions d’euros (1 639 892 500 FCFA) pour contribuer à la formation professionnelle de 3 000 jeunes gabonais non scolarisés.
L’annonce a été faite par le ministre gabonais du Travail, de l’Emploi, de la Formation Technique et Professionnelle, et de l’Insertion des Jeunes, Eloi Nzondo, cité par l’agence marocaine de presse MAP.
Ce soutien s’inscrit dans le cadre du projet d’appui à la formation et l’insertion professionnelle (AFIP) financé par le 10ème Fonds européen de développement (FED) pour lutter contre la pauvreté, notamment chez les jeunes en décrochage scolaire, dont la tranche d’âge varie entre 16 et 25 ans.
« Ce projet a pour finalité d’expérimenter au sein du système d’éducation technique et de formation professionnelle un nouveau dispositif permettant d’améliorer l’insertion sociale des jeunes », a indiqué, mardi à Libreville, M. Nzondo, au terme de la séance de signature du protocole d’accord avec les experts de l’UE.
L’AFIP vise à offrir des formations courtes et qualifiantes pour permettre aux jeunes de s’auto-employer. Des PME et autres structures ayant une expertise avérée dans les domaines bien précis seront mises à contribution. Les métiers sont axés sur l’agriculture, l’électricité, la mécanique, la menuiserie, la maçonnerie, la plomberie, la cuisine et autres, alors que les formations cibleront l’ensemble du pays.
(AIP)
cmas
L’annonce a été faite par le ministre gabonais du Travail, de l’Emploi, de la Formation Technique et Professionnelle, et de l’Insertion des Jeunes, Eloi Nzondo, cité par l’agence marocaine de presse MAP.
Ce soutien s’inscrit dans le cadre du projet d’appui à la formation et l’insertion professionnelle (AFIP) financé par le 10ème Fonds européen de développement (FED) pour lutter contre la pauvreté, notamment chez les jeunes en décrochage scolaire, dont la tranche d’âge varie entre 16 et 25 ans.
« Ce projet a pour finalité d’expérimenter au sein du système d’éducation technique et de formation professionnelle un nouveau dispositif permettant d’améliorer l’insertion sociale des jeunes », a indiqué, mardi à Libreville, M. Nzondo, au terme de la séance de signature du protocole d’accord avec les experts de l’UE.
L’AFIP vise à offrir des formations courtes et qualifiantes pour permettre aux jeunes de s’auto-employer. Des PME et autres structures ayant une expertise avérée dans les domaines bien précis seront mises à contribution. Les métiers sont axés sur l’agriculture, l’électricité, la mécanique, la menuiserie, la maçonnerie, la plomberie, la cuisine et autres, alors que les formations cibleront l’ensemble du pays.
(AIP)
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