Le Comité national de surveillance des actions de lutte contre la traite, l’exploitation et le travail des enfants (cns) poursuit ses actions de formation des acteurs de la lutte contre l’utilisation des enfants dans le milieu professionnel. Du 17 au 18 août, à-Grand-Bassam, des inspecteurs du travail renforcent leurs capacités afin d’être davantage outillés sur le terrain. Hier, à la cérémonie d’ouverture, le ministre de l’Emploi et de la protection sociale, Jean Claude Kouassi, par ailleurs, président du comité interministériel (Cim) de lutte contre la traite, l’exploitation et le travail des enfants, a souligné que c’est ensemble que le combat d’éradication de cette situation doit se mener. «Si depuis 2011, cet engagement s’est traduit par des réformes majeures, force est de constater et de relever que bien des défis attendent d’être relevés».
L’un des principaux challenges concerne, à cet égard, l’appropriation et l’application des instruments juridiques nationaux et internationaux par tous les acteurs de la chaîne de lutte contre le travail des enfants. C’est pourquoi, il a affirmé la nécessité de former les acteurs en charge de l’application de la réglementation. Ainsi selon lui, ces derniers pourront former d’autres acteurs. « Ce séminaire a pour objectif de renforcer leurs capacités en matière de lutte contre le travail des enfants à travers l‘appropriation de la nouvelle règlementation, les procédures de référencement des enfants victimes et le système d’observation et de suivi du travail des enfants », a affirmé Jean Claude Kouassi. Les Inspecteurs auront à partager leurs expériences et acquérir une meilleure connaissance du phénomène et se familiariser avec les deux nouveaux arrêtés déterminant la liste des travaux légers autorisés aux enfants dont l’âge est compris entre 13 et 16 ans et celui déterminant la liste des travaux interdits aux enfants. Selon Patricia Yao Sylvie, secrétaire exécutive du Cns, représentant la présidente Dominique Ouattara, cette formation fait partie du plan d’action de cette lutte. C’est donc un préalable à la consolidation des acquis. C’est pourquoi, dira- t-elle, il a été lancé un vaste programme de renforcement des acteurs en faveur de la chaîne de remédiation. Magistrats, élus locaux, membres du corps préfectoral font partie des bénéficiaires. S’agissant des inspecteurs, leur concours est utile, d’où son appel à la Vigilance. Quant à Dramane Haidara, directeur pays du bureau international, il a salué, cette initiative. Car elle s’inscrit dans une efficacité dans l’action».
L’un des principaux challenges concerne, à cet égard, l’appropriation et l’application des instruments juridiques nationaux et internationaux par tous les acteurs de la chaîne de lutte contre le travail des enfants. C’est pourquoi, il a affirmé la nécessité de former les acteurs en charge de l’application de la réglementation. Ainsi selon lui, ces derniers pourront former d’autres acteurs. « Ce séminaire a pour objectif de renforcer leurs capacités en matière de lutte contre le travail des enfants à travers l‘appropriation de la nouvelle règlementation, les procédures de référencement des enfants victimes et le système d’observation et de suivi du travail des enfants », a affirmé Jean Claude Kouassi. Les Inspecteurs auront à partager leurs expériences et acquérir une meilleure connaissance du phénomène et se familiariser avec les deux nouveaux arrêtés déterminant la liste des travaux légers autorisés aux enfants dont l’âge est compris entre 13 et 16 ans et celui déterminant la liste des travaux interdits aux enfants. Selon Patricia Yao Sylvie, secrétaire exécutive du Cns, représentant la présidente Dominique Ouattara, cette formation fait partie du plan d’action de cette lutte. C’est donc un préalable à la consolidation des acquis. C’est pourquoi, dira- t-elle, il a été lancé un vaste programme de renforcement des acteurs en faveur de la chaîne de remédiation. Magistrats, élus locaux, membres du corps préfectoral font partie des bénéficiaires. S’agissant des inspecteurs, leur concours est utile, d’où son appel à la Vigilance. Quant à Dramane Haidara, directeur pays du bureau international, il a salué, cette initiative. Car elle s’inscrit dans une efficacité dans l’action».