Abidjan (Côte d’Ivoire) - La Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire ( FESCI), la plus grande fédération d’élèves et d’étudiants du pays, a suspendu son mot d’ordre de grève devant débuter mardi et a annoncé dans la foulée un dialogue avec le gouvernement ivoirien.
«Vu que le gouvernement vient d’ouvrir une porte de discussion, la FESCI voudrait informer l’opinion nationale et internationale de la suspension de son mot de grève pour 24 heures, tout en privilégiant le dialogue qui débute ce mardi », rapporte un communiqué transmis à APA.
Le document signé par le Secrétaire général de l’organisation estudiantine, Assi Fulgence Assi, indique cependant « ne pas perdre de vue ses objectifs» malgré l’ouverture de ces négociations avec les autorités gouvernementales. Au nombre desdits objectifs, la FESCI énumère entre autres, « l’annulation des frais annexes d’inscription ou cotisation pour le Coges (Comité de gestion des établissements scolaires), la restauration des sessions de remplacement, la libération des élèves et étudiants incarcérés ».
Deux mouvements de protestations de ladite fédération organisés respectivement le 13 et le 18 septembre derniers autour de la même plateforme revendicative, avaient occasionné des heurts entre policiers et étudiants dans la capitale économique ivoirienne.
Le bilan de ces échauffourées faisait état de trois blessés « par balle» et de plusieurs arrestations d’élèves et étudiants, a en croire Assi Fulgence Assi.
PIG/lb/ls
«Vu que le gouvernement vient d’ouvrir une porte de discussion, la FESCI voudrait informer l’opinion nationale et internationale de la suspension de son mot de grève pour 24 heures, tout en privilégiant le dialogue qui débute ce mardi », rapporte un communiqué transmis à APA.
Le document signé par le Secrétaire général de l’organisation estudiantine, Assi Fulgence Assi, indique cependant « ne pas perdre de vue ses objectifs» malgré l’ouverture de ces négociations avec les autorités gouvernementales. Au nombre desdits objectifs, la FESCI énumère entre autres, « l’annulation des frais annexes d’inscription ou cotisation pour le Coges (Comité de gestion des établissements scolaires), la restauration des sessions de remplacement, la libération des élèves et étudiants incarcérés ».
Deux mouvements de protestations de ladite fédération organisés respectivement le 13 et le 18 septembre derniers autour de la même plateforme revendicative, avaient occasionné des heurts entre policiers et étudiants dans la capitale économique ivoirienne.
Le bilan de ces échauffourées faisait état de trois blessés « par balle» et de plusieurs arrestations d’élèves et étudiants, a en croire Assi Fulgence Assi.
PIG/lb/ls