Le général Philippe Mangou, ex-Chef d’Etat-major des armées (CEMA) a demandé, mardi, ‘’pardon’’ aux populations d’Abobo (commune au Nord d’Abidjan) pour ne les avoir pas défendu faute de ‘’munitions’’ pendant la crise postélectorale.
L’ancien patron de l’armée ivoirienne, aujourd’hui, Ambassadeur de Côte d’ivoire au Gabon, passait pour la deuxième fois devant la Cour pénale internationale (CPI) en qualité de témoin à charge contre Laurent Gbagbo et Blé Goudé poursuivis pour ‘’crimes contre l’humanité et crimes de guerre’’.
‘’La Côte d’Ivoire était sous embargo, on n’avait pas d’armes’’, a reconnu d’emblée, le militaire-diplomate avant de poursuivre ‘’je voudrais profiter de l’occasion pour demander pardon à la population d’Abobo parce qu’on a pu leur venir en aide et à celle d’Anokoi-Kouté’’.
‘’Si on n'a pas pu les défendre, c'est parce qu'on était à cours de munitions", s’est justifié le général Mangou.
HS/ls/APA
L’ancien patron de l’armée ivoirienne, aujourd’hui, Ambassadeur de Côte d’ivoire au Gabon, passait pour la deuxième fois devant la Cour pénale internationale (CPI) en qualité de témoin à charge contre Laurent Gbagbo et Blé Goudé poursuivis pour ‘’crimes contre l’humanité et crimes de guerre’’.
‘’La Côte d’Ivoire était sous embargo, on n’avait pas d’armes’’, a reconnu d’emblée, le militaire-diplomate avant de poursuivre ‘’je voudrais profiter de l’occasion pour demander pardon à la population d’Abobo parce qu’on a pu leur venir en aide et à celle d’Anokoi-Kouté’’.
‘’Si on n'a pas pu les défendre, c'est parce qu'on était à cours de munitions", s’est justifié le général Mangou.
HS/ls/APA