« Je voudrais profiter de cette occasion pour demander pardon à la population d’Abobo pour qui on n’a pas pu faire grand-chose, mais surtout demander pardon à ceux d’Andokoi. On n’a pas pu venir au secours de cette population. Si on n’a pas pu le faire, c’était indépendant de notre volonté, parce qu’on était à cours de munitions. Mais cela, on ne pouvait pas l’annoncer aux gens », s’est confessé Philippe Mangou depuis la Cpi, le mardi 26 septembre 2017.
L’ex-patron a indiqué s’être heurté au refus de son ministre de la défense d’alors de déclarer Abobo comme une zone de guerre. Selon Philippe Mangou, les tentatives pour libérer en partie Abobo se sont aussi heurtées à un problème de personnel et de munitions. suite de l'article sur Fraternité Matin
L’ex-patron a indiqué s’être heurté au refus de son ministre de la défense d’alors de déclarer Abobo comme une zone de guerre. Selon Philippe Mangou, les tentatives pour libérer en partie Abobo se sont aussi heurtées à un problème de personnel et de munitions. suite de l'article sur Fraternité Matin