Bouaké - Un atelier de deux jours consacré à la restitution des résultats de l’étude diagnostic des programmes de recherche de la filière coton s’est ouvert, jeudi, à Bouaké, en vue de mettre à jour les acquis dans le domaine et envisager des solutions aux facteurs limitants.
Réunis à l’initiative de l’Inter-coton, dans le cadre du Programme d’appui au secteur agricole de Côte d’Ivoire (PSAC), les acteurs et partenaires de la filière notamment, des chercheurs agronomes, des responsables de production agricole, de recherche et de développement des sociétés cotonnières, des leaders d’unions de sociétés coopératives et de Fédération de producteurs de coton et des représentant du ministère de tutelle, passeront au scanner le rapport de l’étude réalisé par le cabinet Delonix et feront des propositions en vue de la mise en œuvre des recommandations de cette étude.
L’on attribue le progrès de la culture cotonnière en Côte d’Ivoire à recherche agronomique qui a permis notamment la mise en place des variétés de semences plus performantes, la définition des itinéraires techniques du coton, la formation des agents vulgarisateurs et des producteurs et le suivi technologique de la graine et de la fibre de coton.
En dépit de ces efforts, la culture cotonnière faire face à des contraintes actuelles notamment, le changement climatique et l’orpaillage réduisant considérablement la main d’œuvre dans le champ de coton. L’étude diagnostic fait des recommandations qui tiennent compte de ces contraintes et propose des programmes palliatifs visant l’adaptation du calendrier agricole à ces nouvelles donnes. Elle suggère également la réduction de la pénibilité du travail par la création de variétés de coton résistantes aux aléas.
Le chef de service coton, Boko Klebo Jules, restituant le discours du directeur général de la production et de la sécurité alimentaire, Bredoumy Soumaïla Kouassi, a indiqué que la contribution de cet atelier aux axes d’amélioration des programmes de recherche est beaucoup attendue.
«On ne peut pas faire du bon coton sans des résultats», a souligné, pour sa part, le président de la Fédération des producteurs de coton de Côte d’Ivoire, Yéo Largaaton, souhaitant une contribution substantielle de l’atelier aux résultats de cette étude pour l’amélioration des performances de la filière.
nbf/fmo
Réunis à l’initiative de l’Inter-coton, dans le cadre du Programme d’appui au secteur agricole de Côte d’Ivoire (PSAC), les acteurs et partenaires de la filière notamment, des chercheurs agronomes, des responsables de production agricole, de recherche et de développement des sociétés cotonnières, des leaders d’unions de sociétés coopératives et de Fédération de producteurs de coton et des représentant du ministère de tutelle, passeront au scanner le rapport de l’étude réalisé par le cabinet Delonix et feront des propositions en vue de la mise en œuvre des recommandations de cette étude.
L’on attribue le progrès de la culture cotonnière en Côte d’Ivoire à recherche agronomique qui a permis notamment la mise en place des variétés de semences plus performantes, la définition des itinéraires techniques du coton, la formation des agents vulgarisateurs et des producteurs et le suivi technologique de la graine et de la fibre de coton.
En dépit de ces efforts, la culture cotonnière faire face à des contraintes actuelles notamment, le changement climatique et l’orpaillage réduisant considérablement la main d’œuvre dans le champ de coton. L’étude diagnostic fait des recommandations qui tiennent compte de ces contraintes et propose des programmes palliatifs visant l’adaptation du calendrier agricole à ces nouvelles donnes. Elle suggère également la réduction de la pénibilité du travail par la création de variétés de coton résistantes aux aléas.
Le chef de service coton, Boko Klebo Jules, restituant le discours du directeur général de la production et de la sécurité alimentaire, Bredoumy Soumaïla Kouassi, a indiqué que la contribution de cet atelier aux axes d’amélioration des programmes de recherche est beaucoup attendue.
«On ne peut pas faire du bon coton sans des résultats», a souligné, pour sa part, le président de la Fédération des producteurs de coton de Côte d’Ivoire, Yéo Largaaton, souhaitant une contribution substantielle de l’atelier aux résultats de cette étude pour l’amélioration des performances de la filière.
nbf/fmo