Abidjan - L’entreprise Jighi organise avec le le soutien de l’ambassade des Etats-Unis, la deuxième édition de l’Africa cyber security conférence (ACSC) du 10 au 12 octobre à Abidjan, a annoncé jeudi, le président de l’organisation Mack Coulibaly, à la cérémonie de lancement.
« Pour la deuxième année consécutive, Jighi organise la conférence sur la cyber sécurité. L’objectif de la conférence est de s’assurer que la sécurité en Afrique est au pas des avancées technologiques réalisées », a affirmé M. Coulibaly.
Cette conférence est initiée au regard « des pratiques cybercriminelles, allant de la propagande, du sabotage, de l’exploitation excessive de données personnelles ou encore de l’espionnage de haut niveau contre des organisations gouvernementales ou privées qui apparaissent constamment dans les médias ».
« Les cyber-attaques et la vulnérabilité du cyber espace constituent une menace réelle pour les économies africaines fragiles. Selon une étude récente réalisée en Afrique de l’Ouest par Jighi, plus de 61% de toutes les institutions gouvernementales, des télécoms et des banques des grandes montrent une vulnérabilité critique aux cyber-attaques », a-t-il souligné.
Plus 137 entreprises privées et institutions gouvernementales sont attendues à l’ACSC 2017 placée sous le thème, "L’état de la cyber sécurité en Afrique : opportunités de l’économie numérique face au cyber menaces". Il est prévu entre autres des conférences, une démonstration technique, des tables rondes et des rencontres B to B.
L’édition 2016 a enregistré la présence de plus 1.400 participants, représentant 532 organismes et institutions dont les deux tiers étaient du secteur privé.
(AIP)
ena/fmo
« Pour la deuxième année consécutive, Jighi organise la conférence sur la cyber sécurité. L’objectif de la conférence est de s’assurer que la sécurité en Afrique est au pas des avancées technologiques réalisées », a affirmé M. Coulibaly.
Cette conférence est initiée au regard « des pratiques cybercriminelles, allant de la propagande, du sabotage, de l’exploitation excessive de données personnelles ou encore de l’espionnage de haut niveau contre des organisations gouvernementales ou privées qui apparaissent constamment dans les médias ».
« Les cyber-attaques et la vulnérabilité du cyber espace constituent une menace réelle pour les économies africaines fragiles. Selon une étude récente réalisée en Afrique de l’Ouest par Jighi, plus de 61% de toutes les institutions gouvernementales, des télécoms et des banques des grandes montrent une vulnérabilité critique aux cyber-attaques », a-t-il souligné.
Plus 137 entreprises privées et institutions gouvernementales sont attendues à l’ACSC 2017 placée sous le thème, "L’état de la cyber sécurité en Afrique : opportunités de l’économie numérique face au cyber menaces". Il est prévu entre autres des conférences, une démonstration technique, des tables rondes et des rencontres B to B.
L’édition 2016 a enregistré la présence de plus 1.400 participants, représentant 532 organismes et institutions dont les deux tiers étaient du secteur privé.
(AIP)
ena/fmo