Ouangolodougou - Les enseignants du lycée moderne Alassane Ouattara de Ouangolodougou ont décidé, vendredi, de reprendre les cours, lundi, après un arrêt de travail pour protester contre la bastonnad de l’un de leurs collègues par un masque.
En présence du secrétaire général de la direction régionale de l’Education nationale de Ferkessédougou et de l’Inspecteur de l’Enseignement préscolaire et primaire (IEP), les autorités traditionnelles ont présenté des excuses au personnel du lycée pour l’incident survenu dans la soirée du mercredi par la voix du chef du village, Ouattara Issa, qui a admis qu’un préjudice avait été causé à l’encontre de la famille éducative.
« Nous sommes venus vous demander pardon parce que vous avez été victimes d’une situation. C’est une situation qui n’arrange personne, ni vous, ni nous. Ouangolo ne doit pas toujours être indexée comme une ville où il y a la violence. Tous les fonctionnaires quels qu’ils soient font partie de cette population et ils doivent se sentir en sécurité », a plaidé M. Ouattara Issa.
A leur tour, les enseignants qui n’attendaient que des gages de la chefferie traditionnelle avant toute reprise de cours, ont accepté de reprendre le travail dès le 2 octobre.
Pour sa part, le secrétaire général de la DREN, Gor Bi Gor s’est félicité « qu’une issue heureuse soit trouvée pour le grand bonheur des enfants qui sont les plus grandes victimes de pareille situation ».
(AIP)
ck/aaa/fmo
En présence du secrétaire général de la direction régionale de l’Education nationale de Ferkessédougou et de l’Inspecteur de l’Enseignement préscolaire et primaire (IEP), les autorités traditionnelles ont présenté des excuses au personnel du lycée pour l’incident survenu dans la soirée du mercredi par la voix du chef du village, Ouattara Issa, qui a admis qu’un préjudice avait été causé à l’encontre de la famille éducative.
« Nous sommes venus vous demander pardon parce que vous avez été victimes d’une situation. C’est une situation qui n’arrange personne, ni vous, ni nous. Ouangolo ne doit pas toujours être indexée comme une ville où il y a la violence. Tous les fonctionnaires quels qu’ils soient font partie de cette population et ils doivent se sentir en sécurité », a plaidé M. Ouattara Issa.
A leur tour, les enseignants qui n’attendaient que des gages de la chefferie traditionnelle avant toute reprise de cours, ont accepté de reprendre le travail dès le 2 octobre.
Pour sa part, le secrétaire général de la DREN, Gor Bi Gor s’est félicité « qu’une issue heureuse soit trouvée pour le grand bonheur des enfants qui sont les plus grandes victimes de pareille situation ».
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