A cette heure où les voix s’élèvent pour dénoncer la surenchère des inscriptions dans les établissements d’enseignement publique et privé, Le CEGEPTCI appelle l’ensemble des organisations estudiantine à la retenue et à plus de courtoisie afin d’éviter une crise intersyndicale.
Aussi nous tenons à féliciter le gouvernement pour les efforts fournis de sorte à ramener la quiétude au sein des établissements scolaires et universitaires et à trouver un compromis relatif aux revendications des organisations estudiantines quant à la rentrée académique 2017 - 2018.
Au titre des frais d’inscription dans les grandes écoles, les CFP et les LYpro. Nous exhortons les deux ministères de tutelle notamment le ministère de l’éducation national de l’enseignement technique et de la formation professionnelle dirigé par Mme Kandia CAMARA, et le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique dirigé par Mme Bakayoko Ly Ramata, afin de créer un cadre d’échange réunissant tous les acteurs impliqués à savoir: les responsables d’organisations estudiantines, les fondateurs, les représentants des parents d’élèves, et même les professeurs dans le but de s’accorder sur un montant qui fera objet d’un arrêté ministériel de sorte à prévenir d’éventuels conflits.
Il est bon de rappeler que l’arrêté ministériel de l’enseignement technique et de la formation professionnelle en date du 05 aout 1999 fixant l’inscription à 25000 frs tout frais confondu au secondaire technique et 40 000 frs au BTS existe et jusqu’alors n’a jamais été abrogé.
Aussi nous appelons au sens de responsabilités des leaders d’organisation d’étudiants afin de ne pas tomber dans les querelles politiques qui pourraient créer de grave préjudice à l’école ivoirienne.
Pour clore nous demandons au gouvernement de mettre tout en œuvre pour la libération des étudiantes incarcérées car pour nous elles ont été au mauvais endroit au mauvais moment, afin d’apaiser les cœurs et nous permettre ainsi d’être les médiateurs pour des discussions constructives avec tous les acteurs impliqués dans cette nième crise de trop au niveau de l’école.
Vive l’école ivoirienne
Contrairement à là déclaration de Ibrahim KOUASSI, président de la RETS faite le mardi 26 septembre 2017, nous pensons qu’il n’est pas de notre ressort de faire la loi vis à vis de la surenchère des inscriptions aux BTS qui est de 40.000 frs CFA tout frais confondus, selon l’arrêté ministériel datant de 1999.
Au cours d’une réunion tenue avec le président de la faitière des organisations des fondateurs l’UPSUP, Mr Elété AKA et son Bureau nous a fait savoir les difficiles réalités auxquelles sont confrontés les fondateurs d’établissements supérieurs privés pour offrir une formation de qualité à nos syndiqués et à convenu qu’il serait tout de même judicieux de plafonner les frais d’inscription.
Au regard de ces échanges, nous ne pouvons donc qu’inviter notre ministère de tutelle à organiser un atelier réunissant tous les acteurs du système afin de résoudre définitivement cette question épineuse. Nous sommes pour une formation de qualité de nos syndiqués pour une insertion professionnelle réussie et sommes conscients cela à un coût.
Les échanges sur cette question sont déjà avancées et il nous faut des idées réaliste et constructive au risque de voir nos établissements fermés aux détriment de la formations de nos étudiants.
Cependant nous demandons à Mme la ministre Ly Ramata et aux chefs d’établissement de plancher sur le cas des bacheliers orphelins ou démunis afin de les assister à travers leur service social.
Rassuré que seul les échanges peuvent édifier l’école ivoirienne, nous appelons les responsables d’étudiants à mettre au devant de tout l’intérêt général et de se démarquer des débats politiques.
Vive l’école ivoirienne.
Pour le Bureau Exécutif National du CEGEPT-CI
Le Secrétaire Général National
NEMPE Serge
Aussi nous tenons à féliciter le gouvernement pour les efforts fournis de sorte à ramener la quiétude au sein des établissements scolaires et universitaires et à trouver un compromis relatif aux revendications des organisations estudiantines quant à la rentrée académique 2017 - 2018.
Au titre des frais d’inscription dans les grandes écoles, les CFP et les LYpro. Nous exhortons les deux ministères de tutelle notamment le ministère de l’éducation national de l’enseignement technique et de la formation professionnelle dirigé par Mme Kandia CAMARA, et le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique dirigé par Mme Bakayoko Ly Ramata, afin de créer un cadre d’échange réunissant tous les acteurs impliqués à savoir: les responsables d’organisations estudiantines, les fondateurs, les représentants des parents d’élèves, et même les professeurs dans le but de s’accorder sur un montant qui fera objet d’un arrêté ministériel de sorte à prévenir d’éventuels conflits.
Il est bon de rappeler que l’arrêté ministériel de l’enseignement technique et de la formation professionnelle en date du 05 aout 1999 fixant l’inscription à 25000 frs tout frais confondu au secondaire technique et 40 000 frs au BTS existe et jusqu’alors n’a jamais été abrogé.
Aussi nous appelons au sens de responsabilités des leaders d’organisation d’étudiants afin de ne pas tomber dans les querelles politiques qui pourraient créer de grave préjudice à l’école ivoirienne.
Pour clore nous demandons au gouvernement de mettre tout en œuvre pour la libération des étudiantes incarcérées car pour nous elles ont été au mauvais endroit au mauvais moment, afin d’apaiser les cœurs et nous permettre ainsi d’être les médiateurs pour des discussions constructives avec tous les acteurs impliqués dans cette nième crise de trop au niveau de l’école.
Vive l’école ivoirienne
Contrairement à là déclaration de Ibrahim KOUASSI, président de la RETS faite le mardi 26 septembre 2017, nous pensons qu’il n’est pas de notre ressort de faire la loi vis à vis de la surenchère des inscriptions aux BTS qui est de 40.000 frs CFA tout frais confondus, selon l’arrêté ministériel datant de 1999.
Au cours d’une réunion tenue avec le président de la faitière des organisations des fondateurs l’UPSUP, Mr Elété AKA et son Bureau nous a fait savoir les difficiles réalités auxquelles sont confrontés les fondateurs d’établissements supérieurs privés pour offrir une formation de qualité à nos syndiqués et à convenu qu’il serait tout de même judicieux de plafonner les frais d’inscription.
Au regard de ces échanges, nous ne pouvons donc qu’inviter notre ministère de tutelle à organiser un atelier réunissant tous les acteurs du système afin de résoudre définitivement cette question épineuse. Nous sommes pour une formation de qualité de nos syndiqués pour une insertion professionnelle réussie et sommes conscients cela à un coût.
Les échanges sur cette question sont déjà avancées et il nous faut des idées réaliste et constructive au risque de voir nos établissements fermés aux détriment de la formations de nos étudiants.
Cependant nous demandons à Mme la ministre Ly Ramata et aux chefs d’établissement de plancher sur le cas des bacheliers orphelins ou démunis afin de les assister à travers leur service social.
Rassuré que seul les échanges peuvent édifier l’école ivoirienne, nous appelons les responsables d’étudiants à mettre au devant de tout l’intérêt général et de se démarquer des débats politiques.
Vive l’école ivoirienne.
Pour le Bureau Exécutif National du CEGEPT-CI
Le Secrétaire Général National
NEMPE Serge