Débuté le 2 octobre dernier, le Forum des Premières Dames de la CEDEAO, a pris fin ce jeudi 05 octobre 2017 à Niamey. A l’instar de ses sœurs des pays de la sous-région, la Première Dame de Côte d’ivoire, Madame Dominique Ouattara a pris part à ce forum sous régional pour la lutte contre la fistule obstétricale. Ainsi, du 02 au 05 octobre 2017, les Premières Dames de l’Afrique de l’Ouest se sont penchées sur cette épineuse question de santé. Au cours de la cérémonie solennelle au Palais des congrès de Niamey, les Premières Dames ont reçu le soutien de ses SEM Issoufou Mahamadou, Président de la République du Niger et de Faure Gnassingbé, Président de la République Togolaise et Président en exercice de la CEDEAO. Pour sa part, la Première Dame, Dominique Ouattara a traduit aux autres Premières Dames et aux délégations ministérielles présentes à ce forum, la volonté de la Côte d’ivoire de vaincre la fistule obstétricale.
A l’issue des travaux et des discussions, les épouses des Chefs d’Etat se sont engagées à l’unanimité à lutter non seulement pour l’éradication de la fistule obstétricale en Afrique de l’Ouest, mais aussi, contre les mutilations génitales féminines et l’impact des violences basées sur le genre, sur les femmes et les jeunes en Afrique de l’Ouest. A cet effet, les épouses des chefs d’Etat de la sous-région ont fait six (06) recommandations. Ainsi, pour ces dernières, il convient premièrement de prendre des mesures concrètes et efficaces pour l’élimination de la fistule obstétricale à travers le renforcement des structures de prévention et de prise en charge dans tous les pays. Deuxièmement, il convient d’assurer à toutes les femmes et les filles, une protection légale suffisante contre les causes de la fistule obstétricale. Troisièmement, il faut combattre fermement la pratique des mariages d’enfants, des mutilations génitales féminines et des
viols. Quatrièmement, il faut accroître les ressources nationales pour la prévention, le traitement chirurgical et la réinsertion socio-économique des filles et femmes guéries ou non de la fistule. Cinquièmement, il faut mettre en place et/ou renforcer les programmes nationaux de lutte contre les fistules obstétricales. Et enfin, sixièmement, il faut renforcer les législations nationales afin de prévenir et de condamner effectivement les auteurs d’actes de violences basées sur le thème notamment le mariage des enfants, les viols favorisant la fistule obstétricale.
Les Premières Dames se sont données rendez-vous à Abidjan du 16 au 18 octobre 2017 dans le cadre d’un sommet pour plancher sur l’épineuse question de la lutte contre la traite, l’exploitation et le travail des enfants en vue du renforcement des systèmes de protection de l’enfant contre les violences, les abus et l’exploitation.
A l’issue des travaux et des discussions, les épouses des Chefs d’Etat se sont engagées à l’unanimité à lutter non seulement pour l’éradication de la fistule obstétricale en Afrique de l’Ouest, mais aussi, contre les mutilations génitales féminines et l’impact des violences basées sur le genre, sur les femmes et les jeunes en Afrique de l’Ouest. A cet effet, les épouses des chefs d’Etat de la sous-région ont fait six (06) recommandations. Ainsi, pour ces dernières, il convient premièrement de prendre des mesures concrètes et efficaces pour l’élimination de la fistule obstétricale à travers le renforcement des structures de prévention et de prise en charge dans tous les pays. Deuxièmement, il convient d’assurer à toutes les femmes et les filles, une protection légale suffisante contre les causes de la fistule obstétricale. Troisièmement, il faut combattre fermement la pratique des mariages d’enfants, des mutilations génitales féminines et des
viols. Quatrièmement, il faut accroître les ressources nationales pour la prévention, le traitement chirurgical et la réinsertion socio-économique des filles et femmes guéries ou non de la fistule. Cinquièmement, il faut mettre en place et/ou renforcer les programmes nationaux de lutte contre les fistules obstétricales. Et enfin, sixièmement, il faut renforcer les législations nationales afin de prévenir et de condamner effectivement les auteurs d’actes de violences basées sur le thème notamment le mariage des enfants, les viols favorisant la fistule obstétricale.
Les Premières Dames se sont données rendez-vous à Abidjan du 16 au 18 octobre 2017 dans le cadre d’un sommet pour plancher sur l’épineuse question de la lutte contre la traite, l’exploitation et le travail des enfants en vue du renforcement des systèmes de protection de l’enfant contre les violences, les abus et l’exploitation.