Abidjan - La sécurité alimentaire en Afrique dépend de la capacité à attirer les jeunes vers l’agriculture et l’agroalimentaire, tel est le message qu’a livré la Banque africaine de développement à l’occasion de la Journée mondiale de l’alimentation (JMA) 2017.
Le secteur agricole a le potentiel de créer de la richesse et des emplois pour les jeunes Africains – de quoi endiguer les migrations, estime le président de la BAD, Akinwumi Adesina, l’orateur de la conférence Norman Borlaug dans le cadre de la semaine de célébrations qui ponctuent le Prix mondial de l’alimentation, du 16 au 20 octobre à Des Moines, dans l’Iowa, aux États-Unis.
La Journée mondiale de l’alimentation, célébrée tous les ans le 16 octobre, promeut la sensibilisation et une action mondiale en faveur de ceux qui souffrent de la faim. Elle rappelle également la nécessité d’assurer pour tous une sécurité alimentaire et un régime alimentaire nutritif. Le thème de cette année met l’accent sur la nécessité de « Changer l’avenir des migrations - Investir dans la sécurité alimentaire et le développement rural ».
Le programme ENABLE Youth de la BAD, qui prépare une nouvelle génération de jeunes “agripreneurs”, est en bonne voie pour y parvenir.
« Notre objectif est de faire émerger 10 000 jeunes entrepreneurs agricoles par pays au cours des dix prochaines années. (…) En 2016, la Banque a fourni 700 millions de dollars pour appuyer ce programme dans huit pays, et nous avons aujourd’hui des demandes en provenance de 33 pays », a déclaré le président de la BAD.
Pour la Banque, les investissements dans l’agriculture sont essentiels pour que les jeunes Africains puissent prospérer, et, partant, endiguer les flux de migration.
Avec plus de 70 % des Africains qui dépendent de l’agriculture pour leur subsistance, il est impératif de libérer le plein potentiel de ce secteur, ce qui contribuera grandement à améliorer la qualité de vie des Africains. En conséquence, l’un des objectifs de « Nourrir l’Afrique » est d’éliminer la faim et la malnutrition à l’horizon 2025.
Ainsi, le 14 octobre, la BAD a joint sa voix à celle du ministre de l’Agriculture et du développement rural de la Côte d’Ivoire Mamadou Sangafowa Coulibaly et d’autres partenaires au développement lors d’une journée qui promouvait l’agriculture comme activité lucrative. Tous ont souligné la nécessité pour les gouvernements d’investir dans l’agriculture pour créer des emplois et endiguer les flux migratoires qui minent la sécurité et l’économie des pays africains.
cmas
Le secteur agricole a le potentiel de créer de la richesse et des emplois pour les jeunes Africains – de quoi endiguer les migrations, estime le président de la BAD, Akinwumi Adesina, l’orateur de la conférence Norman Borlaug dans le cadre de la semaine de célébrations qui ponctuent le Prix mondial de l’alimentation, du 16 au 20 octobre à Des Moines, dans l’Iowa, aux États-Unis.
La Journée mondiale de l’alimentation, célébrée tous les ans le 16 octobre, promeut la sensibilisation et une action mondiale en faveur de ceux qui souffrent de la faim. Elle rappelle également la nécessité d’assurer pour tous une sécurité alimentaire et un régime alimentaire nutritif. Le thème de cette année met l’accent sur la nécessité de « Changer l’avenir des migrations - Investir dans la sécurité alimentaire et le développement rural ».
Le programme ENABLE Youth de la BAD, qui prépare une nouvelle génération de jeunes “agripreneurs”, est en bonne voie pour y parvenir.
« Notre objectif est de faire émerger 10 000 jeunes entrepreneurs agricoles par pays au cours des dix prochaines années. (…) En 2016, la Banque a fourni 700 millions de dollars pour appuyer ce programme dans huit pays, et nous avons aujourd’hui des demandes en provenance de 33 pays », a déclaré le président de la BAD.
Pour la Banque, les investissements dans l’agriculture sont essentiels pour que les jeunes Africains puissent prospérer, et, partant, endiguer les flux de migration.
Avec plus de 70 % des Africains qui dépendent de l’agriculture pour leur subsistance, il est impératif de libérer le plein potentiel de ce secteur, ce qui contribuera grandement à améliorer la qualité de vie des Africains. En conséquence, l’un des objectifs de « Nourrir l’Afrique » est d’éliminer la faim et la malnutrition à l’horizon 2025.
Ainsi, le 14 octobre, la BAD a joint sa voix à celle du ministre de l’Agriculture et du développement rural de la Côte d’Ivoire Mamadou Sangafowa Coulibaly et d’autres partenaires au développement lors d’une journée qui promouvait l’agriculture comme activité lucrative. Tous ont souligné la nécessité pour les gouvernements d’investir dans l’agriculture pour créer des emplois et endiguer les flux migratoires qui minent la sécurité et l’économie des pays africains.
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