Abidjan (Côte d’Ivoire) - Les Premières Dames de l’Afrique de l’ouest et du sahel se sont engagées, mercredi, à faire le plaidoyer en faveur de la gratuité de l’école dans leurs pays respectifs, a constaté APA su place dans la capitale économique ivoirienne.
Cet engagement des épouses des chefs d’Etats de cet espace a été pris à l’issue de la conférence qui s’est penchée sur les thématiques de la lutte contre les violences, l’exploitation et la traitre des enfants de même que l’autonomisation des femmes.
Selon la déclaration finale de cette réunion ce plaidoyer sera fait pour « une école obligatoire, gratuite et de qualité jusqu’à l’âge de 16 ans et d’une formation professionnelle adéquate » .
Dans le domaine de la protection et la prise en charge des victimes et des survivants, elles se sont engagées « à contribuer à l’amélioration des conditions de prises en charge des victimes et des survivants à travers la conduite de plaidoyer auprès des pouvoirs publics ».
Il s’agit « de la protection des enfants en mobilité dans les accords de coopération entre pays et pour une réponse intégrée et holistique aux vulnérabilités de ces enfants ».
Les épouses des présidents ont pris la ferme résolution de développer un mécanisme de suivi et évaluation pour faciliter l’élaboration de rapports annuels des engagements qui ont fait l’objet de cette déclaration.
«Nous sommes sur la bonne voie pour éliminer ce fléau (la traite des enfants) dans la région», a salué la première dame ivoirienne, Dominique Ouattara, présidente fondatrice de l’ONG Children Of Africa, initiatrice ce cette rencontre. Des travaux des experts et une réunion des ministres en charge de la question ont précédé cette rencontre.
SY/ls
Cet engagement des épouses des chefs d’Etats de cet espace a été pris à l’issue de la conférence qui s’est penchée sur les thématiques de la lutte contre les violences, l’exploitation et la traitre des enfants de même que l’autonomisation des femmes.
Selon la déclaration finale de cette réunion ce plaidoyer sera fait pour « une école obligatoire, gratuite et de qualité jusqu’à l’âge de 16 ans et d’une formation professionnelle adéquate » .
Dans le domaine de la protection et la prise en charge des victimes et des survivants, elles se sont engagées « à contribuer à l’amélioration des conditions de prises en charge des victimes et des survivants à travers la conduite de plaidoyer auprès des pouvoirs publics ».
Il s’agit « de la protection des enfants en mobilité dans les accords de coopération entre pays et pour une réponse intégrée et holistique aux vulnérabilités de ces enfants ».
Les épouses des présidents ont pris la ferme résolution de développer un mécanisme de suivi et évaluation pour faciliter l’élaboration de rapports annuels des engagements qui ont fait l’objet de cette déclaration.
«Nous sommes sur la bonne voie pour éliminer ce fléau (la traite des enfants) dans la région», a salué la première dame ivoirienne, Dominique Ouattara, présidente fondatrice de l’ONG Children Of Africa, initiatrice ce cette rencontre. Des travaux des experts et une réunion des ministres en charge de la question ont précédé cette rencontre.
SY/ls