Abidjan – La Banque africaine de développement (BAD) appelle à un soutien mondial pour les jeunes agriculteurs et "agripreneurs" africains, soulignant que l'agro-industrie est la solution à l'emploi des jeunes sur le continent.
"Les futurs milliardaires de l'Afrique ne viendront pas du pétrole, du gaz ou des industries extractives", a déclaré le président de la BAD, Akinwumi Adesina, qui intervenait lors d’une session intitulée "Rendre l'agriculture cool: investir dans les futurs agriculteurs et agripreneurs africains", en marge du Dialogue de Borlaug à Des Moines qui se tient de mercredi à vendredi, dans l'Iowa.
Le premier responsable de l’institution financière panafricaine s'est engagé à "encourager les jeunes à chaque étape de la chaîne de valeur agro-alimentaire, à créer des entreprises agro-alimentaires viables et rentables, des emplois et de meilleurs revenus pour eux-mêmes et pour leurs communautés".
Pour Noël Mulinganya, dirigeant des agripreneurs de Kalambo, un groupe de 20 diplômés de 25 à 35 ans aux profils universitaires variés engagés dans des entreprises agroalimentaires collectives, cette initiative est louable. "Notre rêve, à moi et mes collègues, est de bâtir des affaires", a-t-il soutenu
"Nous voudrions que ce programme soit une plateforme pour partager nos connaissances et nos expériences, afin de toucher et de mobiliser autant de jeunes que possible dans l’agro-industrie", a-t-il ajouté.
Ces assises réunissent, notamment, les parties prenantes, à savoir l'Initiative for Global Development, l'Association des professionnels agricoles africains de la diaspora (AAAPD), l'université du Michigan, l’université de l’Iowa et l'Institut international d'agriculture tropicale (IITA), signale-t-on.
Dans le cadre de son programme ENABLE Youth (Empowering Novel Agri-Business-Leded Employment) et en collaboration avec l’IITA, la Banque africaine de développement œuvre en faveur des jeunes agriculteurs en vue d’accroître les opportunités économiques pour les jeunes d'Afrique tout le long de la chaîne de valeur agricole.
Nmfa/kp
"Les futurs milliardaires de l'Afrique ne viendront pas du pétrole, du gaz ou des industries extractives", a déclaré le président de la BAD, Akinwumi Adesina, qui intervenait lors d’une session intitulée "Rendre l'agriculture cool: investir dans les futurs agriculteurs et agripreneurs africains", en marge du Dialogue de Borlaug à Des Moines qui se tient de mercredi à vendredi, dans l'Iowa.
Le premier responsable de l’institution financière panafricaine s'est engagé à "encourager les jeunes à chaque étape de la chaîne de valeur agro-alimentaire, à créer des entreprises agro-alimentaires viables et rentables, des emplois et de meilleurs revenus pour eux-mêmes et pour leurs communautés".
Pour Noël Mulinganya, dirigeant des agripreneurs de Kalambo, un groupe de 20 diplômés de 25 à 35 ans aux profils universitaires variés engagés dans des entreprises agroalimentaires collectives, cette initiative est louable. "Notre rêve, à moi et mes collègues, est de bâtir des affaires", a-t-il soutenu
"Nous voudrions que ce programme soit une plateforme pour partager nos connaissances et nos expériences, afin de toucher et de mobiliser autant de jeunes que possible dans l’agro-industrie", a-t-il ajouté.
Ces assises réunissent, notamment, les parties prenantes, à savoir l'Initiative for Global Development, l'Association des professionnels agricoles africains de la diaspora (AAAPD), l'université du Michigan, l’université de l’Iowa et l'Institut international d'agriculture tropicale (IITA), signale-t-on.
Dans le cadre de son programme ENABLE Youth (Empowering Novel Agri-Business-Leded Employment) et en collaboration avec l’IITA, la Banque africaine de développement œuvre en faveur des jeunes agriculteurs en vue d’accroître les opportunités économiques pour les jeunes d'Afrique tout le long de la chaîne de valeur agricole.
Nmfa/kp