« J’ai fais le tour des 05 établissements scolaires privés du groupe Bethleem situés à korhogo et à Kombolokoro . Elles sont fonctionnelles.. En clair je retiens, que malgré tout ce qui se raconte, les établissements scolaires privés Bethleem sont fonctionnels à 95% et j’insiste…c’est la raison pour laquelle les cours ont été repris dans les classes », a déclaré le 02 novembre dernier M. Coulibaly Moustapha, directeur régional de l’éducation nationale et de l’enseignement technique (DRENET) de la région du poro au Nord de la Côte d’Ivoire.
La réaction de M. Coulibaly fait suite aux informations faisant état de ce que 05 écoles du groupe scolaire Bethleem avaient été incendiées.
En effet après s’être rendu sur le terrain, le premier responsable de l’éducation nationale et de l’enseignement technique de la région du poro a donné avec précision les statistiques des effectifs de chaque école du groupe scolaire qui présente au total 3392 élèves.
Ce sont : l’école Bethleem 01 située au quartier ‘’3 poteaux’’ avec 1400 élèves , l’école Bethleem 03 située au quartier ‘’Kassirimé’’ avec 827 élèves , l(école Bethleem 02 située au quartier ‘’Teguéré’’ avec 700 élèves, l’école Bethleem ‘’Nonlourou Blandine’’ située au quartier ‘’cocody’’ avec 465 élèves à savoir ( 265 au cycle primaire et 200 élèves au cycle secondaire) et enfin l’école Bethleem Tenena Denis avec 34 élèves située à Kombolokoro village natal de Soro Zié Samuel fondateur des écoles Bethleem.
« Les classes, les tableaux, les tables-bancs sont intacts. Des tables -bancs sont même faits en béton et couverts de carreaux comme des salles de laboratoires précisément à l’école Bethleem 03 située au quartier ‘’kassirimé’’.
En dehors de quelques tables-bancs projetés par les fenêtres qui peuvent être réparés, tout fonctionne », a souligné avec insistance Coulibaly Moustapha.
Le DRENET est également revenu sur les normes requises par l’état de Côte d’Ivoire en matière de construction de bâtiments scolaires et de formation des apprenants. « Nous déplorons la qualité de construction de toutes ces écoles en hauteur dont les classes présentent une seule entrée et pas d’autres issus de secours ou d’évacuation en cas d’urgence. Alors que les normes nationales exigent une porte d’entrée et une porte d’évacuation dans la construction d’une salle de classe. Nous ne sommes pas spécialistes en matériaux de construction mais au vu de ce que nous avons constaté sur le terrain il y a l’absence de dosage en ciment par endroit ce qui laisse des escaliers dégradés et présage des menaces permanentes. Aucun air d’éducation physiques et sportives (EPS) n’existe même si cela n’est pas obligatoire » a-t-il en outre souligné.
Quant au préfet de région du Poro, Daouda Ouattara, il s’est réjoui que les élèves des écoles Bethleem puissent retourner dans les classes tout en souhaitant « que règnent la paix et la cohésion sociale et que des solutions seront trouvées pour résoudre ce conflit foncier ».
B. T. une correspondance particulière
La réaction de M. Coulibaly fait suite aux informations faisant état de ce que 05 écoles du groupe scolaire Bethleem avaient été incendiées.
En effet après s’être rendu sur le terrain, le premier responsable de l’éducation nationale et de l’enseignement technique de la région du poro a donné avec précision les statistiques des effectifs de chaque école du groupe scolaire qui présente au total 3392 élèves.
Ce sont : l’école Bethleem 01 située au quartier ‘’3 poteaux’’ avec 1400 élèves , l’école Bethleem 03 située au quartier ‘’Kassirimé’’ avec 827 élèves , l(école Bethleem 02 située au quartier ‘’Teguéré’’ avec 700 élèves, l’école Bethleem ‘’Nonlourou Blandine’’ située au quartier ‘’cocody’’ avec 465 élèves à savoir ( 265 au cycle primaire et 200 élèves au cycle secondaire) et enfin l’école Bethleem Tenena Denis avec 34 élèves située à Kombolokoro village natal de Soro Zié Samuel fondateur des écoles Bethleem.
« Les classes, les tableaux, les tables-bancs sont intacts. Des tables -bancs sont même faits en béton et couverts de carreaux comme des salles de laboratoires précisément à l’école Bethleem 03 située au quartier ‘’kassirimé’’.
En dehors de quelques tables-bancs projetés par les fenêtres qui peuvent être réparés, tout fonctionne », a souligné avec insistance Coulibaly Moustapha.
Le DRENET est également revenu sur les normes requises par l’état de Côte d’Ivoire en matière de construction de bâtiments scolaires et de formation des apprenants. « Nous déplorons la qualité de construction de toutes ces écoles en hauteur dont les classes présentent une seule entrée et pas d’autres issus de secours ou d’évacuation en cas d’urgence. Alors que les normes nationales exigent une porte d’entrée et une porte d’évacuation dans la construction d’une salle de classe. Nous ne sommes pas spécialistes en matériaux de construction mais au vu de ce que nous avons constaté sur le terrain il y a l’absence de dosage en ciment par endroit ce qui laisse des escaliers dégradés et présage des menaces permanentes. Aucun air d’éducation physiques et sportives (EPS) n’existe même si cela n’est pas obligatoire » a-t-il en outre souligné.
Quant au préfet de région du Poro, Daouda Ouattara, il s’est réjoui que les élèves des écoles Bethleem puissent retourner dans les classes tout en souhaitant « que règnent la paix et la cohésion sociale et que des solutions seront trouvées pour résoudre ce conflit foncier ».
B. T. une correspondance particulière