Le directeur général de l’Office ivoirien de la protection civile (ONPC), le Général Kili Fiacre Fagnidi a représenté la Côte d’Ivoire à la troisième Réunion africaine des directeurs généraux et directeurs de protection civile tenue au Bénin.
Plusieurs pays africains présents à cette rencontre de haut niveau, organisée du 26 au 28 octobre, ont réfléchi sur le thème « Nouvelles Stratégies de protections civiles face aux risques de catastrophes naturelles », indique une note d’information du service Communication ONPC transmise à l’AIP.
Pour le Général Kili, cette rencontre était un cadre pour approfondir l’ensemble des questions d’ordre pratique et réglementaire se rapportant aux risques de catastrophes naturelles. A cet effet, il a indiqué que face aux conséquences des catastrophes, la formation devient un atout majeur.
«Les inondations, glissements de terrain, maladies infectieuses (maladie à virus Ebola), les tueries massives (extrémisme violent), les risques liés à un Evénement nucléaire, radiologique, biologique, chimique explosif (NRBCE), des accidents (TMD, avion, train, etc.), des accidents industriels » sont des risques auxquels il faut trouver solution a plaidé, le président de l’assemblée générale de l’Organisation internationale de la protection civile, Kili Fiacre, relevant que la formation doit aller avec l’évolution du monde.
Il a terminé en indiquant que le personnel humain de la Côte d’Ivoire s’est accru et est passé de 1500 personnes, et bénéficie de formations avec les partenaires comme le PNUD et l’Union Européenne.
La 2ème réunion africaine des directeurs généraux et directeurs de la protection civile a eu lieu à Yamoussoukro, en Côte d’Ivoire en 2015.
kkf/cmas
Plusieurs pays africains présents à cette rencontre de haut niveau, organisée du 26 au 28 octobre, ont réfléchi sur le thème « Nouvelles Stratégies de protections civiles face aux risques de catastrophes naturelles », indique une note d’information du service Communication ONPC transmise à l’AIP.
Pour le Général Kili, cette rencontre était un cadre pour approfondir l’ensemble des questions d’ordre pratique et réglementaire se rapportant aux risques de catastrophes naturelles. A cet effet, il a indiqué que face aux conséquences des catastrophes, la formation devient un atout majeur.
«Les inondations, glissements de terrain, maladies infectieuses (maladie à virus Ebola), les tueries massives (extrémisme violent), les risques liés à un Evénement nucléaire, radiologique, biologique, chimique explosif (NRBCE), des accidents (TMD, avion, train, etc.), des accidents industriels » sont des risques auxquels il faut trouver solution a plaidé, le président de l’assemblée générale de l’Organisation internationale de la protection civile, Kili Fiacre, relevant que la formation doit aller avec l’évolution du monde.
Il a terminé en indiquant que le personnel humain de la Côte d’Ivoire s’est accru et est passé de 1500 personnes, et bénéficie de formations avec les partenaires comme le PNUD et l’Union Européenne.
La 2ème réunion africaine des directeurs généraux et directeurs de la protection civile a eu lieu à Yamoussoukro, en Côte d’Ivoire en 2015.
kkf/cmas