La capitale économique ivoirienne, Abidjan, abrite ce mercredi, l’Atelier de restitution du rapport visant à déterminer une liste de produits susceptibles d’être commercialisés au travers d’une bourse régionale des produits vivriers dans l’espace UEMOA.
Dans son allocation d’ouverture, la représentante du ministre ivoirien du Commerce, de l’Artisanat et de la Promotion des PMES a tenu à remercier l’ensemble des délégations présentes pour cet atelier.
La BRPV se veut un outil de mise en place d’un marché commun, ouvert et concurrentiel, dans lequel se fonderaient les marchés nationaux, qui offrirait un cadre propice à l’éclosion des activités productives et commerciales. Ainsi, l’on prévoit dans le cadre de la mise en œuvre de la politique commerciale commune de l’Union, des actions qui doivent concourir à la viabilité de l’appareil de production communautaire et l’élargissement des débouchés des entreprises de l’espace UEMOA.
Il s’agit donc d’actualiser l’étude portant sur la mise en place de cette bourse qui viendrait en complément des activités économiques des États membres de l’Union. La Commission a commandité une étude en vue de mettre en place la BRPV dont le rapport a été validé par les experts sectoriels en septembre 2010.
En marge de cet atelier visant à déterminer également la liste de produits vivriers susceptibles d’être commercialisés via la BRPV, il s’inscrit aussi dans le cadre de la Politique commerciale commune (PCC) de l’UEMOA et du projet d’appui à la compétitivité du commerce et à l’intégration régionale (PACCIR) au sein de l’Union. Notons que ce projet a bénéficié d’un appui budgétaire de 3 millions d’euros par l’Union européenne.
Rappelons que dans la phase opérationnelle pour la mise en place de la BRPV, le Burkina Faso a été choisi comme témoin des pays sahéliens et la Côte d’Ivoire comme témoin des pays côtiers, pour la réalisation du diagnostic des systèmes de collaboration des partenaires stratégiques dans le processus de mise en place de la BRPV à l’échelle de l’UEMOA.
Dans son allocation d’ouverture, la représentante du ministre ivoirien du Commerce, de l’Artisanat et de la Promotion des PMES a tenu à remercier l’ensemble des délégations présentes pour cet atelier.
La BRPV se veut un outil de mise en place d’un marché commun, ouvert et concurrentiel, dans lequel se fonderaient les marchés nationaux, qui offrirait un cadre propice à l’éclosion des activités productives et commerciales. Ainsi, l’on prévoit dans le cadre de la mise en œuvre de la politique commerciale commune de l’Union, des actions qui doivent concourir à la viabilité de l’appareil de production communautaire et l’élargissement des débouchés des entreprises de l’espace UEMOA.
Il s’agit donc d’actualiser l’étude portant sur la mise en place de cette bourse qui viendrait en complément des activités économiques des États membres de l’Union. La Commission a commandité une étude en vue de mettre en place la BRPV dont le rapport a été validé par les experts sectoriels en septembre 2010.
En marge de cet atelier visant à déterminer également la liste de produits vivriers susceptibles d’être commercialisés via la BRPV, il s’inscrit aussi dans le cadre de la Politique commerciale commune (PCC) de l’UEMOA et du projet d’appui à la compétitivité du commerce et à l’intégration régionale (PACCIR) au sein de l’Union. Notons que ce projet a bénéficié d’un appui budgétaire de 3 millions d’euros par l’Union européenne.
Rappelons que dans la phase opérationnelle pour la mise en place de la BRPV, le Burkina Faso a été choisi comme témoin des pays sahéliens et la Côte d’Ivoire comme témoin des pays côtiers, pour la réalisation du diagnostic des systèmes de collaboration des partenaires stratégiques dans le processus de mise en place de la BRPV à l’échelle de l’UEMOA.
