En marge de la COP23 à Bonn, le Ministre Anne Ouloto multiplie les contacts et audiences auprès des partenaires techniques et financiers de la Côte d’Ivoire sur le changement climatique. Le Ministre de la Salubrité, de l’Environnement et du Développement Durable (MINSEDD) et M. James Ramsy, Représentant du Responsing to climate change (RTCC) ont planché au cours d’une rencontre le lundi 13 novembre 2017, sur l’organisation de la Conférence sur la sécurisation du financement climatique en Afrique, prévue du 27 au 28 février 2018 à Abidjan.
Cette conférence internationale sera l’occasion de partager des connaissances et d’orienter les politiques et stratégies futures de la croissance verte inclusive, la finance et un cadre pour tisser des partenariats durables pour développer l’économie verte et les infrastructures sur le continent africain. L’objectif principal est de fournir aux pays Africains une expertise accrue en matière de financement pour un développement sobre en carbone.
La tenue à Abidjan d’un tel événement international présente plusieurs avantages, notamment celui de réaffirmer l’engagement de notre pays dans la lutte contre les changements climatiques, de maintenir le leadership sous-régional, de renforcer la mobilisation des ressources financières pour la mise en œuvre de nos Contributions Déterminées au niveau National (NDC) et de soutenir le développement durable de la Côte d’Ivoire.
Prendront part à cette importante conférence, les gouvernements, les banques, les gestionnaires des secteurs public et privé, les organismes philanthropiques, les entrepreneurs, les penseurs créatifs, les innovateurs, les chercheurs et le système des Nations Unies.
La Délégation ivoirienne a par ailleurs eu, au stand de la Côte d’Ivoire, une séance de travail avec M. Jokka Uosukenein, Directeur du Centre de Réseau de Technologie Climatique. Il s’agissait pour celui-ci d’informer le MINSEDD sur l’importance du mécanisme Technologique et de la féliciter pour le nombre de requêtes soumises au Centre. Comme l’on pouvait s’y attendre, il a également été question de discuter des projets à venir, notamment le projet sur la Zone côtière et la pollution de l’eau. Au terme de la rencontre, les parties ont convenu de la nécessité de poursuivre les activités du Centre de Réseau de Technologie Climatique dans les pays et de s’inscrire sur les assistances rapides dans deux mois pour sortir un document bancable.
Cette conférence internationale sera l’occasion de partager des connaissances et d’orienter les politiques et stratégies futures de la croissance verte inclusive, la finance et un cadre pour tisser des partenariats durables pour développer l’économie verte et les infrastructures sur le continent africain. L’objectif principal est de fournir aux pays Africains une expertise accrue en matière de financement pour un développement sobre en carbone.
La tenue à Abidjan d’un tel événement international présente plusieurs avantages, notamment celui de réaffirmer l’engagement de notre pays dans la lutte contre les changements climatiques, de maintenir le leadership sous-régional, de renforcer la mobilisation des ressources financières pour la mise en œuvre de nos Contributions Déterminées au niveau National (NDC) et de soutenir le développement durable de la Côte d’Ivoire.
Prendront part à cette importante conférence, les gouvernements, les banques, les gestionnaires des secteurs public et privé, les organismes philanthropiques, les entrepreneurs, les penseurs créatifs, les innovateurs, les chercheurs et le système des Nations Unies.
La Délégation ivoirienne a par ailleurs eu, au stand de la Côte d’Ivoire, une séance de travail avec M. Jokka Uosukenein, Directeur du Centre de Réseau de Technologie Climatique. Il s’agissait pour celui-ci d’informer le MINSEDD sur l’importance du mécanisme Technologique et de la féliciter pour le nombre de requêtes soumises au Centre. Comme l’on pouvait s’y attendre, il a également été question de discuter des projets à venir, notamment le projet sur la Zone côtière et la pollution de l’eau. Au terme de la rencontre, les parties ont convenu de la nécessité de poursuivre les activités du Centre de Réseau de Technologie Climatique dans les pays et de s’inscrire sur les assistances rapides dans deux mois pour sortir un document bancable.