Bingerville (Côte d’Ivoire) - L’hôpital mère-enfant de Bingerville, banlieue à l’Est d’Abidjan, sera inauguré en mars 2018, a annoncé jeudi, la première dame ivoirienne, Dominique Ouattara au cours d’une visite sur le site dudit établissement sanitaire en compagnie des épouses de plusieurs chefs d’États africains présentes à Abidjan dans le cadre du 5è sommet Union Africaine-Union Européenne.
« Les prochaines semaines seront mises à profit pour achever l’aménagement de l’hôpital afin qu’il soit inauguré en mars 2018», a fait savoir l’épouse du président ivoirien qui est également l’initiatrice et la promotrice de cet établissement à travers sa Fondation « Children of Africa».
« L’hôpital mère-enfant de Bingerville a été conçu dans le but de fournir aux mamans et à leurs enfants, les soins de santé spécifiques dont ils ont besoin », a poursuivi Mme Ouattara ajoutant que « je me suis engagée à construire cet établissement qui soulagera grandement les populations, non seulement de la Côte d’Ivoire, mais aussi de la sous-région ».
Relativement au financement de l’hôpital, elle a souligné qu’il a été réalisé à partir de fonds privés obtenus grâce à des donateurs ivoiriens et internationaux. « L’hôpital sera doté d’une maison de vie pour les enfants malades du cancer offerte par son altesse la princesse Lalla Salma du Maroc à travers sa fondation », a également révélé Mme Ouattara.
Avant elle, Silva Anoma, directrice scientifique et médicale de l’hôpital mère-enfant, a présenté le projet médical de ladite structure sanitaire. Plusieurs spécialités médicales seront offertes par l’hôpital, a-t-elle annoncé, énumérant entre autres, la néonatalogie, la pédiatrie générale, l’ORL pédiatrique, la chirurgie pédiatrique, la gynécologie et l’obstétrique.
Mme Anoma, qui a salué la clairvoyance de Mme Ouattara par la réalisation d’une structure sanitaire dédiée au couple mère-enfant, a assuré de ce que son institution prodiguera des soins de qualité.
« L’hôpital mère-enfant est socialement responsable dans son essence car des soins de haut niveau y seront prodigués, mais de plus, l’équité dans les soins sera respectée », a-t-elle rassuré. Pour sa part, la ministre ivoirienne de la santé et de l’hygiène publique, Raymonde Goudou Coffie, a, exprimé la gratitude de son département ministériel à Mme Ouattara affirmant qu’au sortir de la crise ivoirienne de 2011, « l’image que présentait notre pays dans le domaine sanitaire était catastrophique ».
L’hôpital mère-enfant, a affirmé Mme Coffie, « répond à la préoccupation de l’État de Côte d’Ivoire». L’hôpital mère-enfant de Bingerville est une structure hospitalière de droit privé à but non lucratif participant au service public hospitalier, a notamment expliqué à son tour, Frédéric Du Sart, directeur général dudit hôpital précisant qu’il est bâti sur 16.000 m² avec 123 lits, 7 salles de blocs opératoires, d’équipements médicaux et d’imagerie de toutes dernières générations.
Sur le plan managérial, a conclu, M. Du Sart, 475 professionnels fonctionnaires et personnel du privé composent les équipes médicales, paramédicales et administratives de l’établissement qui a également un « caractère universitaire». C’est en 2012 que la première dame ivoirienne a lancé le projet de la construction d’un hôpital mère-enfant. Les travaux ont été lancés en juin 2013.
PIG/lb/ls/APA
« Les prochaines semaines seront mises à profit pour achever l’aménagement de l’hôpital afin qu’il soit inauguré en mars 2018», a fait savoir l’épouse du président ivoirien qui est également l’initiatrice et la promotrice de cet établissement à travers sa Fondation « Children of Africa».
« L’hôpital mère-enfant de Bingerville a été conçu dans le but de fournir aux mamans et à leurs enfants, les soins de santé spécifiques dont ils ont besoin », a poursuivi Mme Ouattara ajoutant que « je me suis engagée à construire cet établissement qui soulagera grandement les populations, non seulement de la Côte d’Ivoire, mais aussi de la sous-région ».
Relativement au financement de l’hôpital, elle a souligné qu’il a été réalisé à partir de fonds privés obtenus grâce à des donateurs ivoiriens et internationaux. « L’hôpital sera doté d’une maison de vie pour les enfants malades du cancer offerte par son altesse la princesse Lalla Salma du Maroc à travers sa fondation », a également révélé Mme Ouattara.
Avant elle, Silva Anoma, directrice scientifique et médicale de l’hôpital mère-enfant, a présenté le projet médical de ladite structure sanitaire. Plusieurs spécialités médicales seront offertes par l’hôpital, a-t-elle annoncé, énumérant entre autres, la néonatalogie, la pédiatrie générale, l’ORL pédiatrique, la chirurgie pédiatrique, la gynécologie et l’obstétrique.
Mme Anoma, qui a salué la clairvoyance de Mme Ouattara par la réalisation d’une structure sanitaire dédiée au couple mère-enfant, a assuré de ce que son institution prodiguera des soins de qualité.
« L’hôpital mère-enfant est socialement responsable dans son essence car des soins de haut niveau y seront prodigués, mais de plus, l’équité dans les soins sera respectée », a-t-elle rassuré. Pour sa part, la ministre ivoirienne de la santé et de l’hygiène publique, Raymonde Goudou Coffie, a, exprimé la gratitude de son département ministériel à Mme Ouattara affirmant qu’au sortir de la crise ivoirienne de 2011, « l’image que présentait notre pays dans le domaine sanitaire était catastrophique ».
L’hôpital mère-enfant, a affirmé Mme Coffie, « répond à la préoccupation de l’État de Côte d’Ivoire». L’hôpital mère-enfant de Bingerville est une structure hospitalière de droit privé à but non lucratif participant au service public hospitalier, a notamment expliqué à son tour, Frédéric Du Sart, directeur général dudit hôpital précisant qu’il est bâti sur 16.000 m² avec 123 lits, 7 salles de blocs opératoires, d’équipements médicaux et d’imagerie de toutes dernières générations.
Sur le plan managérial, a conclu, M. Du Sart, 475 professionnels fonctionnaires et personnel du privé composent les équipes médicales, paramédicales et administratives de l’établissement qui a également un « caractère universitaire». C’est en 2012 que la première dame ivoirienne a lancé le projet de la construction d’un hôpital mère-enfant. Les travaux ont été lancés en juin 2013.
PIG/lb/ls/APA