Au terme du Sommet UE-UA, le Président français, Emmanuel Macron a indiqué concernant la jeunesse que, son intention est de faire de la Côte d’Ivoire un hub en matière de formation et qu’il souhaite qu’il y ait un partenariat entre les universités ou grandes écoles françaises et ivoiriennes, à partir de la rentrée académique 2018-2019.
L’idée du Président Macron rejoint les efforts du Groupe 2IAE qui depuis 2 ans s’est engagé à faire de son université d’Azaguié un hub de la formation entrepreneuriale. Cette université de l’entrepreneuriat d’Azaguié a reçu ce samedi 2 décembre 2017, soixante dix neuf (79) étudiants de Yamoussoukro et d’Abidjan pour respectivement des travaux pratiques (supports pédagogiques) en Bâtiment et en Agropastorale.
Cette journée de séances pratiques dans le centre d’incubation de 2IAE a été marquée de la visite du Directeur régional de l’AEJ (Agence emplois jeunes) d’Abobo, M. Kandé Mamadou qui y est venu dans l’intention d’offrir des stages aux étudiants.
« Nous sommes là, dans le cadre de notre partenariat avec le Groupe 2IAE. En cette période de stage école, nous avons des partenaires qui nous ont fait des offres de stages, il est important de trouver des étudiants pour occuper ces offres de stages. Nous avons donc effectué le déplacement pour venir nous imprégner de ce qui se passe dans cette école en matière de pratique en agropastorale et en bâtiment »
Selon lui, cela a été très édifiant de trouver des étudiants en phase pratique dans le domaine de l’élevage, de l’agriculture et du bâtiment. Il n’a pas manqué, au nom du ministre de la Promotion de la Jeunesse, de l’emploi jeune et du service civique ainsi que de l’administrateur de l’AEJ, de féliciter et encourager la direction générale du Groupe 2IAE pour ce dispositif de formation pratique facilitant l’insertion socioprofessionnelle de la jeunesse ivoirienne.
En outre, M. Séraphin Koua, DG du Groupe 2IAE, a-t-il pour sa part, émis un cri de cœur relatif aux subventions étatiques allouées aux grandes écoles privées. Selon lui, ces subventions qui datent des années 1988 et 1990 sont à 300 000 F CFA (avant la dévaluation du Franc CFA) pour les étudiants dans le domaine du tertiaire là où l’UNESCO exige 1 200 000 F CFA ; et 450 000 F CFA pour ceux de l’industriel.
Face au coût élevé des infrastructures d’incubation et des séances travaux pratiques à savoir le transport et la restauration des étudiants dans les champs expérimentaux, le DG de 2IAE a insisté pour que les parents d’étudiants et le Gouvernement investissent plus dans la formation, parce que la formation est un gage de succès pour le développement ou l’émergence d’une nation, à l’image des pays occidentaux.
« La formation a un coût et non un prix. Nous sommes prêts en termes de formation et d’insertion à accompagner le Gouvernement. La présence de l’AEJ aujourd’hui dans nos travaux pratiques en est une illustration parfaite » a-t-il déclaré.
Par ailleurs, l’étudiante Kouadio Affoué Natacha, de la filière Génie civil option bâtiment à 2IAE Yamoussoukro, a été satisfaite de cet exercice pratique après les cours théoriques. « Aujourd’hui, nous avons appris comment faire l’implantation d’un bâtiment et comment monter un mur. Le professeur nous a expliqué au préalable pourquoi et comment faire des fouies avant de monter le mur de sous bâtiment » a-t-elle expliqué.
J. A.
L’idée du Président Macron rejoint les efforts du Groupe 2IAE qui depuis 2 ans s’est engagé à faire de son université d’Azaguié un hub de la formation entrepreneuriale. Cette université de l’entrepreneuriat d’Azaguié a reçu ce samedi 2 décembre 2017, soixante dix neuf (79) étudiants de Yamoussoukro et d’Abidjan pour respectivement des travaux pratiques (supports pédagogiques) en Bâtiment et en Agropastorale.
Cette journée de séances pratiques dans le centre d’incubation de 2IAE a été marquée de la visite du Directeur régional de l’AEJ (Agence emplois jeunes) d’Abobo, M. Kandé Mamadou qui y est venu dans l’intention d’offrir des stages aux étudiants.
« Nous sommes là, dans le cadre de notre partenariat avec le Groupe 2IAE. En cette période de stage école, nous avons des partenaires qui nous ont fait des offres de stages, il est important de trouver des étudiants pour occuper ces offres de stages. Nous avons donc effectué le déplacement pour venir nous imprégner de ce qui se passe dans cette école en matière de pratique en agropastorale et en bâtiment »
Selon lui, cela a été très édifiant de trouver des étudiants en phase pratique dans le domaine de l’élevage, de l’agriculture et du bâtiment. Il n’a pas manqué, au nom du ministre de la Promotion de la Jeunesse, de l’emploi jeune et du service civique ainsi que de l’administrateur de l’AEJ, de féliciter et encourager la direction générale du Groupe 2IAE pour ce dispositif de formation pratique facilitant l’insertion socioprofessionnelle de la jeunesse ivoirienne.
En outre, M. Séraphin Koua, DG du Groupe 2IAE, a-t-il pour sa part, émis un cri de cœur relatif aux subventions étatiques allouées aux grandes écoles privées. Selon lui, ces subventions qui datent des années 1988 et 1990 sont à 300 000 F CFA (avant la dévaluation du Franc CFA) pour les étudiants dans le domaine du tertiaire là où l’UNESCO exige 1 200 000 F CFA ; et 450 000 F CFA pour ceux de l’industriel.
Face au coût élevé des infrastructures d’incubation et des séances travaux pratiques à savoir le transport et la restauration des étudiants dans les champs expérimentaux, le DG de 2IAE a insisté pour que les parents d’étudiants et le Gouvernement investissent plus dans la formation, parce que la formation est un gage de succès pour le développement ou l’émergence d’une nation, à l’image des pays occidentaux.
« La formation a un coût et non un prix. Nous sommes prêts en termes de formation et d’insertion à accompagner le Gouvernement. La présence de l’AEJ aujourd’hui dans nos travaux pratiques en est une illustration parfaite » a-t-il déclaré.
Par ailleurs, l’étudiante Kouadio Affoué Natacha, de la filière Génie civil option bâtiment à 2IAE Yamoussoukro, a été satisfaite de cet exercice pratique après les cours théoriques. « Aujourd’hui, nous avons appris comment faire l’implantation d’un bâtiment et comment monter un mur. Le professeur nous a expliqué au préalable pourquoi et comment faire des fouies avant de monter le mur de sous bâtiment » a-t-elle expliqué.
J. A.
