Abidjan - Le Secrétaire d’Etat chargé de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle, Mamadou Touré a exprimé jeudi à Cocody, sa volonté de porter le taux d’employabilité des élèves qui sortent de son dispositif de 14% à 50% d’ici 2020, en présentant sa politique et son programme pour l’atteindre.
« C’est insignifiant, 14% c’est peu mais c’est déjà beaucoup par rapport à l’enseignement général. Le chef de l’Etat et le Premier ministre nous ont donné l’objectif de ramener ce chiffre à 50% d’ici 2020. Nous sommes en train de développer des initiatives pour que dès cette année, nous puissions porter ce chiffre à 20%, en 2019 à 35% parce que la vocation de la formation professionnelle c’est d’aider à améliorer votre employabilité, votre capacité pour que vous puissiez avoir du travail rapidement », a expliqué M. Touré au lancement des journées portes ouvertes de l’enseignement technique et de la formation professionnelle.
Pour atteindre cet objectif, le Secrétaire d’Etat a indiqué qu’un vaste programme de mise à niveau des enseignants et du dispositif de formation sera une priorité d’ici 2020. « Il y a des investissements qui ont cours notamment pour renouveler des plateaux techniques de nos centres de formation. Des centres seront construits. La plus grande innovation qui sera apportée, c’est de faire en sorte que l’implantation d’établissements dans nos régions soit en cohérence avec leur environnement économique et même ceux qui existent déjà », a-t-il énuméré.
M. Touré a aussi annoncé des réformes qui vont permettre dès la classe de CM2 d’aller en année préparatoire pour faire le Certificat d'Aptitude Professionnelle (CAP). « Ce qu’on veut donner comme possibilité, c’est que des jeunes qui commencent dans le dispositif professionnel ou qui en sont diplômés, ait la passerelle qui leur permette d’aller se former au niveau de l’enseignement général et vice-versa. C’est la grande réforme que le gouvernement nous demande de mettre en œuvre. L’autre chose importante, c’est d’impliquer le secteur privé dans tout ce que nous faisons », a-t-il expliqué.
Selon une enquête réalisée avec l’aide de l’Union Européenne, seulement 14% des élèves qui sortent d’une formation professionnelle arrive à avoir un emploi au bout de neuf mois.
ena/kam
« C’est insignifiant, 14% c’est peu mais c’est déjà beaucoup par rapport à l’enseignement général. Le chef de l’Etat et le Premier ministre nous ont donné l’objectif de ramener ce chiffre à 50% d’ici 2020. Nous sommes en train de développer des initiatives pour que dès cette année, nous puissions porter ce chiffre à 20%, en 2019 à 35% parce que la vocation de la formation professionnelle c’est d’aider à améliorer votre employabilité, votre capacité pour que vous puissiez avoir du travail rapidement », a expliqué M. Touré au lancement des journées portes ouvertes de l’enseignement technique et de la formation professionnelle.
Pour atteindre cet objectif, le Secrétaire d’Etat a indiqué qu’un vaste programme de mise à niveau des enseignants et du dispositif de formation sera une priorité d’ici 2020. « Il y a des investissements qui ont cours notamment pour renouveler des plateaux techniques de nos centres de formation. Des centres seront construits. La plus grande innovation qui sera apportée, c’est de faire en sorte que l’implantation d’établissements dans nos régions soit en cohérence avec leur environnement économique et même ceux qui existent déjà », a-t-il énuméré.
M. Touré a aussi annoncé des réformes qui vont permettre dès la classe de CM2 d’aller en année préparatoire pour faire le Certificat d'Aptitude Professionnelle (CAP). « Ce qu’on veut donner comme possibilité, c’est que des jeunes qui commencent dans le dispositif professionnel ou qui en sont diplômés, ait la passerelle qui leur permette d’aller se former au niveau de l’enseignement général et vice-versa. C’est la grande réforme que le gouvernement nous demande de mettre en œuvre. L’autre chose importante, c’est d’impliquer le secteur privé dans tout ce que nous faisons », a-t-il expliqué.
Selon une enquête réalisée avec l’aide de l’Union Européenne, seulement 14% des élèves qui sortent d’une formation professionnelle arrive à avoir un emploi au bout de neuf mois.
ena/kam