Un atelier régional réunissant les acteurs de l’industrie du livre de 21 pays africains s’est ouvert, lundi, au siège de la Banque africaine de développement (BAD) à Abidjan, a constaté APA sur place dans la capitale économique ivoirienne.
Cet atelier de quatre jours qui rassemble des acteurs de la chaîne du livre, des libraires, des responsables des ministères de l’éducation nationale vise à créer un cadre de «partage d’idées et d’expériences».
Les participants au nombre de 75 personnes venues de 10 pays francophones et de 10 pays anglophones ainsi qu’un pays lusophone à savoir le Cap Vert, se pencheront sur tous les défis qui se posent de la conception à la distribution des livres en passant par la production et l’approvisionnement, dans un contexte de percée fulgurante des technologies de l’information et de la communication (TIC).
Cette rencontre initiée par l’Association pour le développement de l’éducation en Afrique (ADEA) et l’Alliance mondiale pour le livre (AML) est soutenue par l’Agence des États-Unis pour le développement international (USAID).
« C’est une première en Afrique, et nous pensons que les recommandations fortes, les stratégies qui vont être déclinées et les moyens de mise en œuvres qui vont être déclinés permettront à tous les acteurs de retour dans leur pays respectif de pouvoir mettre de nouvelles actions en place», a espéré à l’ouverture des travaux, l’éditeur Guinéen, Aliou Sow.
SY/ls
Cet atelier de quatre jours qui rassemble des acteurs de la chaîne du livre, des libraires, des responsables des ministères de l’éducation nationale vise à créer un cadre de «partage d’idées et d’expériences».
Les participants au nombre de 75 personnes venues de 10 pays francophones et de 10 pays anglophones ainsi qu’un pays lusophone à savoir le Cap Vert, se pencheront sur tous les défis qui se posent de la conception à la distribution des livres en passant par la production et l’approvisionnement, dans un contexte de percée fulgurante des technologies de l’information et de la communication (TIC).
Cette rencontre initiée par l’Association pour le développement de l’éducation en Afrique (ADEA) et l’Alliance mondiale pour le livre (AML) est soutenue par l’Agence des États-Unis pour le développement international (USAID).
« C’est une première en Afrique, et nous pensons que les recommandations fortes, les stratégies qui vont être déclinées et les moyens de mise en œuvres qui vont être déclinés permettront à tous les acteurs de retour dans leur pays respectif de pouvoir mettre de nouvelles actions en place», a espéré à l’ouverture des travaux, l’éditeur Guinéen, Aliou Sow.
SY/ls
