Abidjan - Le publicitaire ivoirien Fabrice Sawegnon, potentiel candidat aux prochaines élections municipales dans la circonscription du Plateau (Abidjan-centre), appelle ses partisans à l’apaisement, leur demandant de ne pas répondre à toute provocation venant de ses probables adversaires.
« Soyons apaisés, soyons professionnels », a notamment lancé M. Sawegnon à ses partisans, appelant ceux-ci à « ne pas se laisser distraire » par ses détracteurs qui, depuis quelques jours, s’attaquent à ses origines, suscitant une « polémique inutile » autour de sa nationalité ivoirienne.
« Restez concentrés sur les élections et notre projet pour faire du Plateau, une ville nouvelle», a-t-il en outre déclaré.
L'homme d'affaires a réaffirmé être « né ivoirien » en janvier 1972 à Abidjan, relevant l’application, à cette période, du droit de sol en Côte d’Ivoire. Ses parents, dit-il, d’origine béninoise s’étant installés en Côte d’Ivoire en 1956 pour son père et en 1964 pour sa mère.
L’homme qui s’exprimait dimanche lors d’une rencontre avec des jeunes venus de divers horizons de la capitale économique ivoirienne, a partagé son « rêve de mettre fin aux inégalités sociales au Plateau ».
« À partir du pont Félix Houphouët-Boigny, il faut diviser le Plateau en deux. Tout est fait dans le Plateau de droite. Mais le Plateau de gauche, pauvre, attend qu’on lui tende la main », s’est-il justifié, se présentant comme un « fils du Plateau, qui a effectué tout son cursus scolaire et universitaire en Côte d’Ivoire, son pays.
Les élections municipales dont la date n’a pas encore été arrêtée, seront couplées avec celles des Conseils régionaux.
tm/kp
« Soyons apaisés, soyons professionnels », a notamment lancé M. Sawegnon à ses partisans, appelant ceux-ci à « ne pas se laisser distraire » par ses détracteurs qui, depuis quelques jours, s’attaquent à ses origines, suscitant une « polémique inutile » autour de sa nationalité ivoirienne.
« Restez concentrés sur les élections et notre projet pour faire du Plateau, une ville nouvelle», a-t-il en outre déclaré.
L'homme d'affaires a réaffirmé être « né ivoirien » en janvier 1972 à Abidjan, relevant l’application, à cette période, du droit de sol en Côte d’Ivoire. Ses parents, dit-il, d’origine béninoise s’étant installés en Côte d’Ivoire en 1956 pour son père et en 1964 pour sa mère.
L’homme qui s’exprimait dimanche lors d’une rencontre avec des jeunes venus de divers horizons de la capitale économique ivoirienne, a partagé son « rêve de mettre fin aux inégalités sociales au Plateau ».
« À partir du pont Félix Houphouët-Boigny, il faut diviser le Plateau en deux. Tout est fait dans le Plateau de droite. Mais le Plateau de gauche, pauvre, attend qu’on lui tende la main », s’est-il justifié, se présentant comme un « fils du Plateau, qui a effectué tout son cursus scolaire et universitaire en Côte d’Ivoire, son pays.
Les élections municipales dont la date n’a pas encore été arrêtée, seront couplées avec celles des Conseils régionaux.
tm/kp