Abidjan, 25 jan (AIP) - Le ministre de la Culture et de la Francophonie, Maurice Kouakou Bandaman a annoncé jeudi que 2018 sera articulée autour de la promotion du patrimoine culturel national, au cours de la cérémonie de la rentrée culturelle à Cocody.
« L’année culturelle 2018, sera articulée autour de la promotion de notre patrimoine culturel national. Il s’agira pour nous, précisément, de valoriser les savoirs et savoir-faire traditionnels, liés au tissage du pagne, chez les communautés baoulé, dan, gouro, koulango, sénoufo, wê », a indiqué M. Bandaman.
Selon le ministre de la Culture, le tissage du pagne traditionnel est le reflet de l’ensemble des pratiques et expressions culturelles visant à promouvoir l’âme et la vie des peuples. « Le tissage du pagne traditionnel, touche à toutes les valeurs qui nous incarnent et qui se manifestent notamment dans les domaines vitaux de notre société », a-t-il expliqué.
A cet effet, il a invité les stylistes, créateurs et modélistes à inscrire dans leurs coupes et leur design, notre tissage qui se réfère à notre patrimoine culturel. «Il faut et j’insiste, arriver absolument à l’édification d’un code vestimentaire par lequel on reconnait et identifie notre pays et ses habitants», a-t-il souhaité.
Mis en lumière et bien structuré, le tissage traditionnel accroit l’employabilité dans nos communautés rurales et urbaines, en présentant comme une solution pragmatique à la question de lutte contre la pauvreté, notamment chez les jeunes, souligne Bandaman Maurice.
(AIP)
ena/kam
« L’année culturelle 2018, sera articulée autour de la promotion de notre patrimoine culturel national. Il s’agira pour nous, précisément, de valoriser les savoirs et savoir-faire traditionnels, liés au tissage du pagne, chez les communautés baoulé, dan, gouro, koulango, sénoufo, wê », a indiqué M. Bandaman.
Selon le ministre de la Culture, le tissage du pagne traditionnel est le reflet de l’ensemble des pratiques et expressions culturelles visant à promouvoir l’âme et la vie des peuples. « Le tissage du pagne traditionnel, touche à toutes les valeurs qui nous incarnent et qui se manifestent notamment dans les domaines vitaux de notre société », a-t-il expliqué.
A cet effet, il a invité les stylistes, créateurs et modélistes à inscrire dans leurs coupes et leur design, notre tissage qui se réfère à notre patrimoine culturel. «Il faut et j’insiste, arriver absolument à l’édification d’un code vestimentaire par lequel on reconnait et identifie notre pays et ses habitants», a-t-il souhaité.
Mis en lumière et bien structuré, le tissage traditionnel accroit l’employabilité dans nos communautés rurales et urbaines, en présentant comme une solution pragmatique à la question de lutte contre la pauvreté, notamment chez les jeunes, souligne Bandaman Maurice.
(AIP)
ena/kam