Abidjan - Désormais le sigle MASA signifie Marché des arts et du spectacle d’Abidjan, a annoncé vendredi le directeur général de l’évènement, Yacouba Konaté révélant aussi de nouvelles dispositions.
« La définition du sigle MASA devient Marché des arts et du spectacle d’Abidjan. Jusqu’en 2014, le budget du MASA était essentiellement financé par la coopération internationale et à parti de 2014, nous avons commencé à changer de modèle économique du MASA. Nous sommes passés à un MASA financé par les instances nationales. Pour moi, c’est un tournant important et nous allons essayer de le consolider par une réduction des charges », a expliqué M. Konaté au cours de l’atelier de validation de la matrice d’actions du ministère de la Culture et de la Francophonie pour l’année 2018.
Concernant la réduction des charges, il a fait savoir qu’il sera demandé à tous les professionnels qui viendront, de payer au moins leurs billets d’avion. La direction du MASA va intervenir une fois qu’ils seront en Côte d’Ivoire.
Placé sous le thème «quel modèle économique pour les arts de la scène », Yacouba Konaté a signifié que cette édition va consister à mettre à contribution les acteurs de l’économie culturelle. « Le MASA c’est une institution. Nous l’organisons pour que tout le secteur culturel, toute la chaine des valeurs culturelles puissent bénéficier des retombées », a-t-il indiqué.
En terme de chiffre, le directeur général du MASA a annoncé l’arrivée de 112 séminaristes, d’une délégation de 43 personnes des Etats-Unis, 20 du Canada et 10 du Maroc. « Nous attendons de faire le point sur tous les directeurs de festivals d’Afrique et des différentes régions du monde qui vont certainement nous rejoindre. Au total sans compter ces professionnels, aujourd’hui nous sommes à 806 artistes invités. Ce sont des chiffres qui vont évolués », a-t-il affirmé.
Pour sa part, le ministre de la Culture et de la Francophonie, Maurice Bandaman Kouakou a souligné l’importance du MASA 2018 en insistant sur le fait que « ce n’est pas un évènement à prendre à la légère ». Il a invité tous les acteurs à s’impliquer pour la réussite de cette rencontre culturelle afin de marquer la belle appropriation de la Côte d’Ivoire.
Au programme du MASA, il est prévu entre autres une réunion de l’OIF, un séminaire de l’institut international du théâtre et sur les arts de la rue, la deuxième rencontre d’Afrique-Maghreb des professionnels des arts de la scène et une rencontre autour de la mode.
(AIP)
ena/kam
« La définition du sigle MASA devient Marché des arts et du spectacle d’Abidjan. Jusqu’en 2014, le budget du MASA était essentiellement financé par la coopération internationale et à parti de 2014, nous avons commencé à changer de modèle économique du MASA. Nous sommes passés à un MASA financé par les instances nationales. Pour moi, c’est un tournant important et nous allons essayer de le consolider par une réduction des charges », a expliqué M. Konaté au cours de l’atelier de validation de la matrice d’actions du ministère de la Culture et de la Francophonie pour l’année 2018.
Concernant la réduction des charges, il a fait savoir qu’il sera demandé à tous les professionnels qui viendront, de payer au moins leurs billets d’avion. La direction du MASA va intervenir une fois qu’ils seront en Côte d’Ivoire.
Placé sous le thème «quel modèle économique pour les arts de la scène », Yacouba Konaté a signifié que cette édition va consister à mettre à contribution les acteurs de l’économie culturelle. « Le MASA c’est une institution. Nous l’organisons pour que tout le secteur culturel, toute la chaine des valeurs culturelles puissent bénéficier des retombées », a-t-il indiqué.
En terme de chiffre, le directeur général du MASA a annoncé l’arrivée de 112 séminaristes, d’une délégation de 43 personnes des Etats-Unis, 20 du Canada et 10 du Maroc. « Nous attendons de faire le point sur tous les directeurs de festivals d’Afrique et des différentes régions du monde qui vont certainement nous rejoindre. Au total sans compter ces professionnels, aujourd’hui nous sommes à 806 artistes invités. Ce sont des chiffres qui vont évolués », a-t-il affirmé.
Pour sa part, le ministre de la Culture et de la Francophonie, Maurice Bandaman Kouakou a souligné l’importance du MASA 2018 en insistant sur le fait que « ce n’est pas un évènement à prendre à la légère ». Il a invité tous les acteurs à s’impliquer pour la réussite de cette rencontre culturelle afin de marquer la belle appropriation de la Côte d’Ivoire.
Au programme du MASA, il est prévu entre autres une réunion de l’OIF, un séminaire de l’institut international du théâtre et sur les arts de la rue, la deuxième rencontre d’Afrique-Maghreb des professionnels des arts de la scène et une rencontre autour de la mode.
(AIP)
ena/kam