Bondoukou – Une séance de sensibilisation sur les bonnes pratiques agricoles liées à la qualité de la noix de cajou s’est déroulée, vendredi, à Bondoukou (Nord-est, région du Gontougo) à l’initiative du Conseil du coton et de l’anacarde.
Cette séance vise à informer, sensibiliser et impliquer les acteurs professionnels de la filière anacarde dans la gestion de la qualité de la noix de cajou. Il s’agit également d’attirer l’attention de l’ensemble des acteurs sur l’enjeu que représente la bonne qualité pour un développement durable de la filière anacarde.
Le formateur, Niamkey Kouamé, chef de zone de l’Agence nationale du développement rural (ANADER) de Bondoukou a expliqué les dispositions à prendre pour obtenir une bonne qualité de la noix de cajou. Il s’agit notamment de procéder au nettoyage régulier des plantations afin de limiter le taux d’infestation par les insectes.
Pour M. Niamkey, il est important de ramasser immédiatement les fruits tombés au sol et séparer la noix de la pomme à l’aide d’une ficelle afin d’éviter d’avoir à long terme des mains calleuses.
Autres étapes importantes selon le technicien de l’ANADER, le séchage et le triage des noix qui seront ensuite conditionnées et stockées selon les normes requises afin d’avoir des noix de cajou blanches et saines, prêtes à la commercialisation.
En 2017, la production nationale de l’anacarde est estimée à 673 T, en baisse par rapport à la production de 2016 qui était de 683 T.
zaar/kam
Cette séance vise à informer, sensibiliser et impliquer les acteurs professionnels de la filière anacarde dans la gestion de la qualité de la noix de cajou. Il s’agit également d’attirer l’attention de l’ensemble des acteurs sur l’enjeu que représente la bonne qualité pour un développement durable de la filière anacarde.
Le formateur, Niamkey Kouamé, chef de zone de l’Agence nationale du développement rural (ANADER) de Bondoukou a expliqué les dispositions à prendre pour obtenir une bonne qualité de la noix de cajou. Il s’agit notamment de procéder au nettoyage régulier des plantations afin de limiter le taux d’infestation par les insectes.
Pour M. Niamkey, il est important de ramasser immédiatement les fruits tombés au sol et séparer la noix de la pomme à l’aide d’une ficelle afin d’éviter d’avoir à long terme des mains calleuses.
Autres étapes importantes selon le technicien de l’ANADER, le séchage et le triage des noix qui seront ensuite conditionnées et stockées selon les normes requises afin d’avoir des noix de cajou blanches et saines, prêtes à la commercialisation.
En 2017, la production nationale de l’anacarde est estimée à 673 T, en baisse par rapport à la production de 2016 qui était de 683 T.
zaar/kam