Le Ministère de l’Intégration africaine et des ivoiriens de l’extérieur par le truchement de sa Direction générale de l’intégration africaine a organisé ce lundi 29 janvier, à Grand Bassam, en collaboration avec le Secrétariat permanent du Comité national du Comité permanent inter-états de lutte contre la sécheresse dans le sahel (CILSS), un atelier de contribution de la Côte d’Ivoire à la réflexion sur la redynamisation du CILSS. Cet atelier a pour objet de mener des réflexions sur la redynamisation du CILSS, en vue d’une meilleure prise en compte des spécificités de la Côte d’Ivoire.
De façon spécifique il est question de présenter les réalisations du CILSS en Côte d’Ivoire depuis son adhésion, analyser la feuille de route relative à la redynamisation du CILSS et recueillir les attentes des différents acteurs ivoriens. Plusieurs ministères et structures techniques étatiques ont pris part à ces travaux dont l’ouverture a été présidée par le Directeur de cabinet du Ministère de l’Intégration africaine et des ivoiriens de l’extérieur, M. Alassane Diamouténé.
En effet, la problématique des crises alimentaires et même de la désertification, de l’accès au marché est une préoccupation transversale à tous les pays ouest africains. Avec la progression des effets du changement climatique, les pays côtiers dont la Côte d’Ivoire font régulièrement face aux inondations tandis que ceux du sahel sont en proie à la sécheresse. Consciente de la force sociale et économique d’une réponse régionale, la Côte d’Ivoire a adhéré au CILSS en 2012.
Selon le Directeur de cabinet, pour apporter les meilleures réponses aux aspirations fort légitimes de la Côte d’Ivoire, il est bien indiqué de se pencher sur le bilan des six dernières années en termes d’activités menées avec l’appui du CILSS.
Par ailleurs, cette rencontre se tient à la veille des instances statutaires du CILSS et aussi au moment où des réflexions intenses sont menées au niveau régional sur la redynamisation et la réforme organisationnelle du CILSS.
« Vous êtes d’avis avec moi que cette rencontre est stratégique. Elle permettra d’avoir vos riches contributions sur les éléments importants de cette réflexion sur la réforme du CILSS en vue d’une meilleure prise en compte des spécificités de la Côte d’Ivoire », a déclaré M. Alassane Diamouténé.
Il a ajouté que l’occasion est donnée de repenser et moduler la vision du CILSS en tenant compte des réalités des pays côtiers en général et de la Côte d’Ivoire en particulier, mais aussi de donner un nouveau souffle et des moyens adéquats au CILSS dans la réalisation de ses missions.
Créé en 1973 pour pallier les effets de la sécheresse par la mobilisation des populations sahéliennes et la communauté internationale autour de l’aide d’urgence et la mise en œuvre de programmes dans différents domaines : agriculture pluviale et irriguée, hydraulique, environnement, transport et communication, le CILSS de quatre Etats sahéliens (Burkina Faso, Mali, Niger et Tchad), s’est enrichi de huit Etats côtiers (Bénin, Côte d’Ivoire, Gambie, Guinée, Guinée-Bissau, Mauritanie, Sénégal, Togo) et d’un Etat insulaire (Cap Vert). Au total, le CILSS regroupe 13 Etats membres.
De façon spécifique il est question de présenter les réalisations du CILSS en Côte d’Ivoire depuis son adhésion, analyser la feuille de route relative à la redynamisation du CILSS et recueillir les attentes des différents acteurs ivoriens. Plusieurs ministères et structures techniques étatiques ont pris part à ces travaux dont l’ouverture a été présidée par le Directeur de cabinet du Ministère de l’Intégration africaine et des ivoiriens de l’extérieur, M. Alassane Diamouténé.
En effet, la problématique des crises alimentaires et même de la désertification, de l’accès au marché est une préoccupation transversale à tous les pays ouest africains. Avec la progression des effets du changement climatique, les pays côtiers dont la Côte d’Ivoire font régulièrement face aux inondations tandis que ceux du sahel sont en proie à la sécheresse. Consciente de la force sociale et économique d’une réponse régionale, la Côte d’Ivoire a adhéré au CILSS en 2012.
Selon le Directeur de cabinet, pour apporter les meilleures réponses aux aspirations fort légitimes de la Côte d’Ivoire, il est bien indiqué de se pencher sur le bilan des six dernières années en termes d’activités menées avec l’appui du CILSS.
Par ailleurs, cette rencontre se tient à la veille des instances statutaires du CILSS et aussi au moment où des réflexions intenses sont menées au niveau régional sur la redynamisation et la réforme organisationnelle du CILSS.
« Vous êtes d’avis avec moi que cette rencontre est stratégique. Elle permettra d’avoir vos riches contributions sur les éléments importants de cette réflexion sur la réforme du CILSS en vue d’une meilleure prise en compte des spécificités de la Côte d’Ivoire », a déclaré M. Alassane Diamouténé.
Il a ajouté que l’occasion est donnée de repenser et moduler la vision du CILSS en tenant compte des réalités des pays côtiers en général et de la Côte d’Ivoire en particulier, mais aussi de donner un nouveau souffle et des moyens adéquats au CILSS dans la réalisation de ses missions.
Créé en 1973 pour pallier les effets de la sécheresse par la mobilisation des populations sahéliennes et la communauté internationale autour de l’aide d’urgence et la mise en œuvre de programmes dans différents domaines : agriculture pluviale et irriguée, hydraulique, environnement, transport et communication, le CILSS de quatre Etats sahéliens (Burkina Faso, Mali, Niger et Tchad), s’est enrichi de huit Etats côtiers (Bénin, Côte d’Ivoire, Gambie, Guinée, Guinée-Bissau, Mauritanie, Sénégal, Togo) et d’un Etat insulaire (Cap Vert). Au total, le CILSS regroupe 13 Etats membres.