La campagne 2018 a mis l’accent sur des noix bien séchées et bien triées pour que la production de 711 000 tonnes prévues s’écoule aisément et que la transformation locale se développe.
La Côte d’Ivoire, premier pays producteur mondial de la noix de cajou depuis 2015 à ce jour, en plus de la faiblesse du rendement à l’hectare, fait face à un autre grand challenge : la qualité de sa production. Pour parvenir, comme le Mozambique qui a un meilleur KOR (un meilleur pourcentage de bonnes amandes dans un sac de 80 kg de noix de cajou), à ravir aussi sur le marché international, la plus –value qui va de 50 à 300 dollars américains.
Le Dr Adama Coulibaly, directeur général du Conseil du coton et de l’anacarde, qui ne cesse de répéter : «La qualité a un... suite de l'article sur Fraternité Matin
La Côte d’Ivoire, premier pays producteur mondial de la noix de cajou depuis 2015 à ce jour, en plus de la faiblesse du rendement à l’hectare, fait face à un autre grand challenge : la qualité de sa production. Pour parvenir, comme le Mozambique qui a un meilleur KOR (un meilleur pourcentage de bonnes amandes dans un sac de 80 kg de noix de cajou), à ravir aussi sur le marché international, la plus –value qui va de 50 à 300 dollars américains.
Le Dr Adama Coulibaly, directeur général du Conseil du coton et de l’anacarde, qui ne cesse de répéter : «La qualité a un... suite de l'article sur Fraternité Matin