Lancés en 2014, les travaux de désenclavement des villages des trois sous-préfectures périphériques du District Autonome d’Abidjan (Songon, Bingerville et Anyama) s’exécutent de façon ‘’très satisfaisante ‘’sur le terrain. Ces travaux prennent en compte cinq principaux volets : le bitumage de 108 km de voies, l’adduction d’eau potable pour l’équipement de 35 villages en Hydraulique Villageoise ameliorée, l’électrification de 33 villages, la construction d’un canal de drainage des eaux pluviales pour Béago (Yopougon), la réhabilitation et la construction d’écoles primaires avec cantines.
‘’Nous sommes heureux de constater que le taux de réalisation de ces travaux est aujourd’hui au delà de 70%’’, selon le Ministre Robert Beugré Mambé, Gouverneur du District Autonome d’Abidjan dont l’institution est le maître d’ouvrage. Pour s’assurer d’un travail de qualité, deux autres entités sont à la tâche. Il s’agit du Bureau National d’Etudes Techniques et de Développement (BNETD) qui assure la mission de maître d’œuvre quand le Laboratoire du Bâtiment et des Travaux Publics (LBTP) contrôle les questions géotechniques et de produits noirs.
D’un coût global de cinquante deux milliards de francs CFA (52 milliards) l’objectif du Président de la République SE Alassane Ouattara, explique Robert Beugré Mambé, est d’abord d’apporter un plus à la qualité de vie des populations de ces localités, ensuite de créer les conditions d’un réel développement socio-économique et enfin faire bénéficier à tous, des résultats de la croissance économique.
Lors d’une visite qu’il a effectuée récemment dans la sous-préfecture de Bingerville, M. Robert Beugré Mambé s’est dit « heureux » que cet investissement ait contribué à créer un véritable boom économique dans ces sous-préfectures.
« On nous avait annoncé ce grand projet, beaucoup n’y ont pas cru, mais la réalité est aujourd’hui palpable. Nous arrivons à bien vendre notre attiéké, à écouler facilement les produits de notre pêche. Nous en sommes heureux et exprimons nos remerciements au Président Ouattara », explique Agbo Honoré, Président du Collectif des Chefs Atchans.
M. Robert Beugré Mambé n’entend pas s’arrêter en si bon chemin. Il compte cette année encore redoubler d’efforts dans les actions de lutte contre la pauvreté et le chômage des jeunes et des femmes à travers la construction d’usines de production d’attiéké, l’exploitation du plan d’eau lagunaire pour l’aquaculture.
DIRCOM D A A
‘’Nous sommes heureux de constater que le taux de réalisation de ces travaux est aujourd’hui au delà de 70%’’, selon le Ministre Robert Beugré Mambé, Gouverneur du District Autonome d’Abidjan dont l’institution est le maître d’ouvrage. Pour s’assurer d’un travail de qualité, deux autres entités sont à la tâche. Il s’agit du Bureau National d’Etudes Techniques et de Développement (BNETD) qui assure la mission de maître d’œuvre quand le Laboratoire du Bâtiment et des Travaux Publics (LBTP) contrôle les questions géotechniques et de produits noirs.
D’un coût global de cinquante deux milliards de francs CFA (52 milliards) l’objectif du Président de la République SE Alassane Ouattara, explique Robert Beugré Mambé, est d’abord d’apporter un plus à la qualité de vie des populations de ces localités, ensuite de créer les conditions d’un réel développement socio-économique et enfin faire bénéficier à tous, des résultats de la croissance économique.
Lors d’une visite qu’il a effectuée récemment dans la sous-préfecture de Bingerville, M. Robert Beugré Mambé s’est dit « heureux » que cet investissement ait contribué à créer un véritable boom économique dans ces sous-préfectures.
« On nous avait annoncé ce grand projet, beaucoup n’y ont pas cru, mais la réalité est aujourd’hui palpable. Nous arrivons à bien vendre notre attiéké, à écouler facilement les produits de notre pêche. Nous en sommes heureux et exprimons nos remerciements au Président Ouattara », explique Agbo Honoré, Président du Collectif des Chefs Atchans.
M. Robert Beugré Mambé n’entend pas s’arrêter en si bon chemin. Il compte cette année encore redoubler d’efforts dans les actions de lutte contre la pauvreté et le chômage des jeunes et des femmes à travers la construction d’usines de production d’attiéké, l’exploitation du plan d’eau lagunaire pour l’aquaculture.
DIRCOM D A A